La citoyenne du nom de Clémentine s'est confiée à un coach. La situation est inacceptable pour elle : « Je ne sais vraiment pas ce que les hommes trouvent dans la bière, ils sont tous comme les enfants d'une même mère », commence-t-elle.
Elle explique que « mon mari est alcoolique, il boit tellement qu'il arrive à la maison en parlant seul. Ce qui est étonnant, c'est qu'il arrive quand même devant la véranda avant de s'écrouler au sol et dormir.
Plusieurs fois, j'ai tiré mon type couché dehors pour le faire au moins dormir au salon. L'autre jour, j'en avais marre. Il est arrivé vers 22h, ivre, et est tombé à la véranda pour dormir. J'ai dit à nos deux enfants de le laisser là-bas. On a laissé la porte ouverte, sachant qu'il se lèverait après pour entrer.
Le bon monsieur a dormi là-bas. Mon fils de 12 ans a été obligé de dormir au salon pour veiller sur lui. Vers 5h, il s'est levé dans son état d'ivresse, est entré au salon, a pissé et est ressorti pour se recoucher à la véranda. Il a confondu l'intérieur avec l'extérieur. J'ai décidé de régler cette affaire.
L'autre jour, il est revenu bien ivre et s'est couché à la véranda comme d'habitude. Vers 3h, je me suis levée, ai versé du sel autour de lui en formant un cercle, cassé une kola que j'ai déposée sur son ventre, versé des pièces de 5 francs autour de lui, puis tué un de nos poussins que j'ai déposés près de sa tête avec une lettre écrite disant : "On va t'avoir." Je suis rentrée me coucher.
Le matin, à 6h, j'ai entendu ses cris dehors. Il est entré précipitamment à l'intérieur. Coach, depuis ce temps, il rentre à 18h, il ne boit plus. Il dit que les sorciers attendent qu'il soit ivre pour le tuer.
Le problème est qu'il est vraiment traumatisé au point de pleurer au lit dès que la souris passe sur le toit. S'il vous plaît, est-ce qu'il est nécessaire de lui dire la vérité ? Il pourrait facilement attraper un AVC. Ou alors, je serre le cœur et le laisse dans sa peur ? », se demande-t-elle.