'Il a sorti un couteau me demandant de me déshabiller, m'attacher et commencé à me lécher'

C’est un violeur qui est sans pitié pour ses victimes. Il les attire dans un appartement loué, discute un peu avec elles et emploie la méthode violente. En d’autres termes, elle ne leur laisse pas le choix de refuser ce qu’il veut faire avec elle.

L’une des victimes du violeur en série Nganmogue Cédric témoigne ci-dessous. Le bourreau a été capturé et conduit vers un lieu de détention.

La femme dont il a abusé écrit : « J'ai été mise en contact pas un de mes amis très proches, par un gars qui se disait être en collaboration avec un honorable, qui avait une suite dans un hôtel de la place et qu'il désirait avoir la compagnie d'une fille.

Et une fois que le gars est entré en contact avec moi, il m'a appelée pour me dire qu'il avait reçu mon contact de mon ami en question, et je lui ai répondu que je n'étais pas dans la ville, que je revenais d'un voyage par le vol de Camairco.

Mon vol était prévu pour 19h ce jour-là et il était déjà à l'aéroport de Nsimalen. Une fois ensemble, je lui ai demandé où nous allions, il m'a dit que c'était à Ekoumdoum, chose qui m'a énervé parce qu’il était question de l’hôtel Hilton au départ, il a réussi à me convaincre de me calmer.

En disant que pour des raisons de discrétion, il était nécessaire que nous allions plutôt à son domicile. Au lieudit Ekoumdoum, une fois arrivé à son domicile, nous sommes montés dans son domicile d'après ses dires.

Il m'a sorti un couteau de cuisine et il me demandait de me déshabiller. Il m'a ligotée les mains et chacun de mes pieds, de telle sorte que je ne puisse me débattre, vu que son intention d'abuser de moi était prononcée.

Puis il a commencé à me toucher et à mettre les doigts partout, puis me sucer, puis son téléphone a sonné, c’est le moment où il a tout arrêté pour répondre et après son appel, il est revenu s'habiller puis il a pris la fuite. Il m'a tout pris, y compris les vêtements que je portais ce jour-là et ma valise. J’avais déposé plainte mais rien ne s’est passé ».