La vidéo fait le tour des réseaux sociaux depuis quelques jours. On y voit un homme anglophone faire irruption dans l'appartement de son frère et surprend ce dernier en train de coucher avec sa femme.
L'homme soupçonnait sa femme de le tromper avec quelqu'un depuis plusieurs mois. Mais l'homme avec qui sa femme le trompe, est son propre frère dont il a les clés d'appartement. Mais à suivre la vidéo que la rédaction des CamerounWeb vous propose, il semble que ce dernier ne savait pas que c'était la femme de son frère.
Cette vidéo, même si elle concerne des américains, a le mérite de ramener sur le tapis, le sempiternel problème d'adultère qui a secoué les réseaux sociaux au Cameroun, avec l'affaire Mendomo.
Le chasseur filme, le gigolo est en sang, Mendomo pleure, le chien aboie et le gigolo prend une tangente à la fin. Dieu merci il serait en vie et aux urgences. Alors on doit se demander : et si ce coup de machette arrachait à ce jeune homme son dernier souffle ? Serions-nous toujours face à une vengeance ou alors un crime passionnel ? Le mari serait-il toujours en liberté ?
Mendomo est fautive, ce n’est pas à discuter. Car selon le Code pénal camerounais, l’adultère est puni d’un à deux mois d’emprisonnement ou d’une amende de 25 000 à 100 000 francs CFA. Alors, le mari aurait pu se limiter à faire des preuves de l’adultère de son épouse et lui porter plainte car « il est interdit de se faire justice soit même ».
Maintenant ceux et celles qui vont dire que le mari a détruit l’image et la dignité de sa femme, désolé quand on se sait digne, on évite de commettre des actes indignes comme par exemple avoir des rapports charnels avec quelqu’un d’autre que son conjoint légal. On a récemment eu le cas d’une femme qui avait coupé le sexe de son mari à cause d’une infidélité, c’était drôle, risible, comique, juste. N’est-ce pas ?
Au fond, rien n’est normal dans cette histoire du moment où du sang a coulé. Oui sur le coup ça fait mal. Mais il suffit d’une seule seconde de colère pour tout perdre. La femme doit être punie, le garçon aussi, et le mari encore plus.
Rien que le fait de filmer la nudité d’autrui sans son consentement et rendre cela public, est tout autant condamnable. Il n’est pas le premier à se faire tromper. D’autres font comme ça et découvrent qu’ils n’ont aucun lien de parenté avec leurs enfants. Bref je parle même quoi ?".