Incident à l’EDC entre le DG et une secrétaire : ce qui s’est réellement passé

Alors qu’Arlette Zaga de la direction de l’Exploitation, service où elle est secrétaire de direction à Electricity Development Corporation (EDC) s’est écroulée toute seule dans son bureau ce vendredi 1er juin 2018 à 15 heures en présence de plusieurs témoins, des hommes sans honneur ont tôt fait de diffuser à travers les réseaux sociaux, que la jeune dame, a été battue par Théodore Nsangou le directeur général (DG) de EDC.

La cabale médiatique et le complot ourdi contre le DG de EDC, ne s’embarrassent plus d’aucun scrupule. Tout est bon maintenant pour noircir Théodore Nsangou. En effet, ce vendredi à 15 heures, la nommée Arlette Zaga, secrétaire de direction à la direction de l’Exploitation à EDC à Yaoundé, s’est effondrée toute seule. La raison : à en croire nos informations, suite à une enquête lancée dans l’entreprise pour identifier les employés qui mettent les documents confidentiels sur les réseaux sociaux, le directeur des Ressources humaines, a pris la décision d’affecter Arlette Zaga dans un autre service.

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C’est ainsi que suite à cette décision, la jeune dame s’est évanoui, avant d’être acheminée aux urgences de l’hôpital central de Yaoundé. Il était alors 15 heures. Mais que ne fut pas notre surprise de voir que juste quelques minutes après, le très ombrageux et sulfureux Jean Yves Ngono Misso le mythomane président national du Syndicat des travailleurs du secteur de développement des ouvrages de production, de transport et de régulation de l’électricité (Syndoptre), appuyé par l’activiste exilé et manipulé Boris Berthold, se sont empressés de publier sur les réseaux sociaux , que Théodore Nsangou le Dg de EDC, a battu une secrétaire de direction nommée Arlette Zaga.

Un grossière et puérile calomnie qui ne doit même pas faire honneur au camp pour lequel travaillent Jean Yves Ngono Misso et un Boris Berthold qui se fait désormais beaucoup d’argent en publiant des informations confidentielles qu’il reçoit des dignitaires de Yaoundé, dans leurs batailles de pouvoir et de clans. Et pourtant, au moment de la chute de la secrétaire de direction Arlette Zaga, Théodore Nsangou le Dg de EDC, était en réunion dans son bureau, et c’est bien après que ce dernier, a été mis au courant du malaise de la jeune dame.

Avec ce nouveau feuilleton, il est désormais loisible à tout le monde, de comprendre comment à tout prix et à tous les prix, les lobbys qui se servent de Jean Yves Ngono Misso et Boris Berthold, veulent la tête de Théodore Nsangou. Il n’y a qu’à voir comment le 19 mars dernier, les deux personnes incriminées, avaient à grand fracas, annoncé la comparution au tribunal criminel spécial (Tcs), de Théodore Nsangou, accompagné de l’ancien ministre Edgard Alain Mebe Ngo’o que Boris Berthold depuis son exil universitaire de Lille en France, avait dit hospitalisé à la clinique de la cathédrale au quartier Omnisports à Yaoundé, afin « d’échapper à la comparution au Tcs ».

Un tour effectué ce jour-là au Tcs par le reporter de Camer.be à Yaoundé, révéla qu’aucune convocation n’avait jamais été servie à Théodore Nsangou, de même qu’Edgard Alain Mebe Ngo’o, n’était concerné par cette juridiction spéciale ce jour-là.

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Alors que toutes les accusations cousues de fil blanc contre le DG de EDC meurent de leur belle mort et ne trompent plus personne, déshonoré et honteux, Jean Yves Ngono Misso qu’une haine démentielle et bestiale de Théodore Nsangou habite, recourt à présent à la calomnie sans vergogne. Déjà, Camer.be a appris que des poursuites judiciaires pourraient être engagées contre l’intéressé, pour « dénonciation calomnieuse ». Un ubuesque mensonge en plein 15 heures qui a laissé le personnel de EDC présent lors de la chute de la secrétaire de direction Arlette Zaga, sans voix.

A chacun de conclure, ce d’autant plus que le direction générale de EDC à Yaoundé, ne se trouve qu’à l’avenue des banques, et donc que toute personne soucieuse de la véracité des faits, a donc la possibilité de s’y rendre, et s’informer sur la chute de la secrétaire de direction Arlette Zaga. Pas de visa ou de passeport à prendre pour cela.