La donatrice (image illustrative) est une femme célibataire de 43 ans, avec une situation bien stable. Elle sort avec un homme qui veut la prendre comme deuxième épouse. Le mariage est prévu pour le mois de novembre.
Compte tenu de l’instabilité financière de son partenaire, comme le révèle la concernée sur les réseaux sociaux, « j'ai alors décidé de voter un fond pour la famille, mais madame semble ne pas être d'accord. Je leur ai donné 5,4 millions pour qu'ils payent une parcelle ».
En fait, regrette-t-elle, la maison dans laquelle ils se trouvent est trop petite. Après l'achat du terrain, « j'ai donné 15 millions de francs pour la construction. Actuellement, la maison est prête avec 3 chambres et salons et ma coépouse refuse de déménager, or on avait programmé de déménager en octobre et faire le mariage en novembre ».
Je ne veux pas aller vivre là-bas seule, reconnaît la maîtresse non encore légalisée. « Je suis une personne qui aime être entourée de beaucoup de gens. J'ai payé un scooter depuis 6 mois pour ma coépouse et elle a carrément refusé de monter, le scooter est toujours déposé, monsieur n'a pas de problème, c'est quelqu'un de vraiment calme et très gentil, je fais 80 % des dépenses et cela ne me gêne pas car je sais qu'il n'a pas assez de moyens ».
Selon la femme aux grands moyens, il est difficile de convaincre la coépouse. Elle ne veut pas prendre son mari, mais souhaite seulement qu'elles essaient de vivre ensemble à bon terme.
« Vue mon âge, c'est sûr que je ne peux plus faire d'enfants, donc je voulais vraiment profiter de ses enfants, les aider avec les études et autres. J'ai passé mon temps à chercher de l'argent et actuellement j'en ai, mais pas de foyer ni d'enfants. J'ai juste un frère qui est aux États-Unis et n'a pas besoin de mon argent, mes parents ne sont plus en vie », précise-t-elle. Voilà une parfaite coépouse, non ?