‘J’ai été sauvagement vi0lée’ : une lesbienne camerounaise témoigne

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Mon, 2 Sep 2024 Source: Le Soir n° 1012

La scène se passe à Douala la capitale économique du Cameroun où toutes sortes de pratiques sont admises pour assurer la pitance.

Jeune étudiante à l'université d'Etat de Douala, A. Esther Elisée N. intègre un groupe de lesbienne, composée d’étudiantes, afin de subvenir à ses besoins; notamment les frais de scolarité et surtout le loyer et son entretien.

Au début, tout se passe très bien, car l'odieuse pratique "nourrit son homme"; lorsque sa concubine (Nathalie), fille d'un grand homme d'affaires se rend compte de son infidélité, elle l'appelle pour une mise en garde et un rappel urgent à l'ordre.

Celle-ci ne l'entend pas de cette oreille ; l'entretient finit par se transformer en dispute et les deux concubines se séparent à queue de poisson. Un mois plus tard, Nathalie conçoit un terrible plan de vengeance dont ne redoute sa concubine séduite de nouveau par ses charmes.

Elle ignore que dans la pratique de l'homosexualité, la jalousie n’est pas tolérée; c'est ainsi qu'elles se retrouvent en compagnie d'autres convives dans une boite de nuit pour célébrer l'anniversaire de l'une des leurs; seulement la bouteille de champagne d'Esther contient de la drogue, laquelle va la prolonger rapidement dans un profond sommeil.

C'est le moment idéal pour Nathalie de passer à l’acte ; elle fait venir cinq bourreaux qui la transporteront dans un domicile très loin de la boite de nuit. Celle-ci sera violée au point d'être incapable de se tenir sur ses deux jambes pendant environ un mois ; en effet,

Sous l'effet des menaces pour une autre correction sexuelle certainement encore plus dangereuse que la première, elle disparaitra de la ville sans crier garde pour se retrouver dans un pays voisin selon son cousin, notre informateur.

Traumatisée par l'acte qu'elle avait subi elle, aurait même connu des modifications physiques et serait devenue difficilement reconnaissable.

Les proches d’Esther ont du mal à retrouver le sommeil depuis la disparition de leur fille et dont ils restent sans nouvelles rassurantes. Aux dernières nouvelles une enquête serait ouverte pour retrouver son "ex-femme" et surtout les cinq bourreaux qui l'ont rendu sexuellement handicapée.

Source: Le Soir n° 1012