C’est une nouvelle histoire qui rappelle à bien de personnes le scandale Dubaï Porta Potty, traitement inhumain que des milliardaires réservent aux femmes dans la ville de Dubaï. Il a beaucoup fait polémique sur les réseaux sociaux et les médias.
Des jeunes filles et influenceuses motivées par l’argent sont allées très loin dans cette affaire. Elles ont vendu leur dignité pour quelques zéros en plus sur leur compte en banque.
Ces personnes ont été maltraitées par des riches, avec la signature d’un contrat de confidentialité et de non divulgation d’information. Et alors qu’on croyait que ces pratiques perverses et déshumanisantes s’arrêteraient à Dubaï, on apprend au contraire que le procédé continue même sur le territoire camerounais.
L’activiste Jacques Jorel Zang a livré l’information selon laquelle « elle fait le soufflet anal à son "arrière-grand-père" de "petit copain" qui la finance et il finit par chier dans sa bouche ».
En effet dit-il, « son "gars" lui avoue qu'il aime ça et que cela lui fait jouir mais il lui jure qu'il n'est pas dans les choses compliquées ».
Les précisions données par le lanceur d’alertes sont que l’homme « s'occupe de la fille depuis deux (02) ans et elle a vingt-six (26) ans et lui soixante-dix-huit (78) ans et c'est un grand PDG de la place ».
« Je tiens toutefois à préciser que "le soufflet anal" était "moderne" vu qu'elle le faisait avec le tube d'un stylo », apprend-on.
Les commentaires ne manquent pas. Immédiatement après que l’information est tombée, les citoyens ont montré leur courroux : « En fait, l'objectif était de déféquer dans sa bouche et ça a été chose faite. Qu'elle aille croiser les bras et attendre les retombés ».
« C'est une pratique récurrente au Gabon, je ne savais pas qu'ici les gens connaissent ça. Beaucoup de vieux là-bas ont déjà crevé à cause de ça mais ils continuent toujours. Oh Seigneur », crie un Gabonais.