'Je couche avec mon petit frère du même sang'

Fille Peches Reconnaître ses péchés

Thu, 7 Aug 2025 Source: www.camerounweb.com

La dame avoue qu'elle piétine toute moralité. Mais « il est grand temps que je me confie puisque ce que je vis n'est plus normal », décide-t-elle.

Je suis une femme de 32 ans, mariée depuis 7 ans à un homme bon, travailleur, qui fait tout pour ses enfants et pour moi sa petite famille. On a deux beaux garçons de 6 et 3 ans.

En apparence, j’ai la vie parfaite que beaucoup de femmes envient, mais dans l’ombre, je suis un monstre, un diable en personne. Ce que je m’apprête à avouer, je ne le dis pas avec fierté. Je le dis parce que je suis en train de me perdre, de m’enfoncer dans quelque chose qui dépasse l’entendement

Je couche avec mon petit frère du même sang, oui vous avez bien lu, mon propre petit frère cadet qui lui également est marié. Ça a commencé quand on était encore jeune et on n'a jamais arrêté.

Quand il m'avait rapproché à l'époque, j’aurais dû le recadrer, mais au lieu de ça, j’ai joué avec le feu. Un weekend, en pleine nuit, il est venu me retrouver dans la cuisine et c’est là que le premier péché a été consommé dans la maison familiale.

Ce qui me fait le plus peur, c’est que j’y ai pris du plaisir, un plaisir intense. Depuis ce jour-là, on trouve toujours un moment pour nous deux. Je suis consciente que c’est une abomination. Je me dégoûte, mais je ne sais plus comment sortir de là.

Mais ce n’est pas tout. Mon mari a un frère, son aîné, qui passe souvent à la maison pour déposer des affaires (sa marchandise). C’est un homme très viril, très sûr de lui. Il y a quelques mois, pendant que mon mari était en déplacement, il est venu comme d’habitude. On a discuté et j’ai fini sur lui. J’étais même celle qui l’a attiré, il est revenu plusieurs fois après, en prétextant toujours une excuse, et moi, comme une perdue, j’ouvre la porte, j’ouvre mon cœur, j’ouvre mon corps sans jamais penser aux conséquences.

Aujourd’hui, je ne me reconnais plus. Je suis une mère, je suis épouse, je suis censée être un repère. Mais je suis devenue une source d’impureté dans ma propre maison. Ces moments de plaisir volé me hantent plus qu’ils ne me soulagent. Je vis dans la peur constante d’être découverte. Mon mari me regarde avec confiance, mes enfants m’appellent "maman" avec tendresse et moi je porte en moi un fardeau qui me consume du jour au jour.

Chaque fois j’ai honte, je pleure, mais je recommence. C’est comme une malédiction que je nourris moi-même. Je ne sais plus à qui parler. Je n’ai pas d’amie proche, je n’ose pas aller vers un pasteur et je vis dans une société où on juge avant de chercher à comprendre.

Mais je sais que si je continue, je vais tout perdre : mon foyer, mes enfants, ma dignité… Mon cœur est fatigué, mon corps me trahit et mon esprit est en guerre. Que Dieu me pardonne.

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