Le radicalisme et d'autres problèmes dénoncés (photo d'illustration)
Un acteur de la société civile, vivant loin des frontières du Cameroun, se penche sur la situation sociopolitique du Cameroun. Entre autres sujets, il parle du radicalisme et de ce qui pourrait arriver aux habitants d'ici peu. Le citoyen, membre actif de la diaspora, évoque également le cas de Sandra qui nargue les Camerounais.
Quand je dis depuis un moment que le radicalisme des uns et des autres avec tous types de discours d'intolérance de part et d'autre sur les réseaux sociaux n'augure absolument rien de bon pour l'avenir, j'ai certaines personnes qui me disent de relativiser les choses. Vous avez donc relativisé au Noso et on voit bien ce que ça donné aujourd'hui.
Moi je suis pragmatique et je tire la sonnette d'alarme. Est-ce que vous ne vous rendez pas compte que plus le temps passe avec l'élection présidentielle qui tend à l'horizon et plus le Camerounais en général est davantage intolérant à la critique. En fait, personne ne se remet en question et personne ne veut comprendre qu'elle a tort sur telle ou telle situation en commençant bien sûr par le gouvernement où tout discours clivant ou contraire à sa politique conduit automatiquement aux arrestations et même au bannissement du Cameroun, car beaucoup ne peuvent plus mettre les pieds au Cameroun juste parce qu'ils veulent le changement et bien même quand on est au Cameroun, on coure le risque de se faire arrêter à tout instant et c'est le cas notamment des militants et sympathisants du MRC.
Face à cette situation de dictature pure et dure aux relents très répressifs du système politique au Cameroun des organisations du changement sont nées en diaspora. Si au départ, ces organisations étaient largement saluées et faisaient l'unanimité auprès du peuple camerounais, surtout jadis avec le boycott des véritables dirigeants camerounais au tout début de cette lutte, au fil du temps les nombreux scandales internes, les divisions et luttes internes de leadership et les boycotts sélectifs et à têtes chercheuses qui n'ont aucun réel impact sur les dirigeants ont eu raison de leur crédibilité et ceci d'autant que les mêmes dirigeants camerounais viennent toujours ici en Europe quand bon leur semble comme cette Sandra qui fait des Snapchat pour continuer à narguer le peuple camerounais qu'elle est en France pour faire les courses avec l'argent du peuple.
On laisse ces organisations pour constater avec tristesse et effroi de la montrée du tribalisme de plus en plus visible sur les réseaux sociaux avec des panels TikTok et des publications Facebook des personnes formellement identifiées et qui appellent à la haine tribale et carrément à un génocide contre les peuples camerounais bulu/ekang et bami et bizarrement et curieusement les mêmes qui incitent et font l'apologie de cette s3leté et qui sont bel et bien identifiés et identifiables en plus de vivre tous en diaspora viennent des mêmes régions à laquelle s'ajoutent désormais certains Camerounais d'origine bassa.
Ainsi nous avons comme suit les radicaux sardinards du RDPC chapeautés par le gouvernement du Cameroun, les radicaux tontinards qui veulent le changement et qui se recrutent plus chez les sympathisants du combat du changement, ils ne sont pas dans la majorité des cas militants du MRC mais ils disent soutenir avec la bouche Maurice Kamto mais en réalité, ils sont incapables de vous dire plus sur le programme politique de celui-ci et ne sont pas capables de suivre ces dix commandements, mais ils s'accrochent juste sur Maurice Kamto, car c'est l'opposant le plus crédible de l'heure.
Les radicaux 'cabralistes' fidèles à vie de Cabral Libii. Les radicaux de Samuel Eto'o qui donneraient leurs vies pour lui et qui s'avèrent aussi pour très beaucoup des soutiens de Cabral Libii. De tous ces radicaux, les moins dangereux sont en fait les radicaux tontinards dont la force est avant tout virtuelle qu'autre chose, car en réalité, la toile est leur exutoire, mais en revanche les plus dangereux sont les radicaux cabralistes qui ne se contentent pas de juste parler mais ils agissent (c'est eux qui font plus les panels TikTok de haine et qui sont les mêmes qui ont livré les militants et sympathisants du MRC aux autorités policières et c'est encore eux qui sont responsables de la mort de feue mirabelle (paix à son âme) et qui font l'apologie du viol sur des combattantes comme Rebelle Mboussi).
Ils sont donc très dangereux ces radicaux et sont plus intéressés à ce que le sang ruisselle dans les rues au Cameroun, car ils aiment cette odeur. On est donc dans une poudrière en téléchargement au Cameroun qui ne fera aucun gagnant, mais que des victimes de tous les côtés du bas peuple (…).