• Brenda Biya a fait une nouvelle publication
• La publication a été faite sur sa page Facebook
• Elle semble parler d'un fait qu'elle vit en personne
Dans une publication sur sa page Facebook, la fille de Paul et Chantal Biya montre à ses compatriotes, l'importance de la présence d'une personne de manière physique dans la vie d'une personne.
Souvent seule à Paris, aux Etats-Unis ou à Genève où elle passe plusieurs mois de l'année, Brenda Biya vit souvent loin de sa famille, dans des hôtels. Elle a certes des amis un peu partout dans le monde, mais il n'en demeure pas moins que la fille du chef de l'Etat vit en solitaire.
Cette solitude, elle l'a souvent exprimé à travers des publications sur les réseaux sociaux où elle s'exprime très souvent.
Dans une de ses récentes publications, elle donne des conseils à ses compatriotes sur la valeur de la disponibilité d'une personne dans la vie d'une autre.
"La disponibilité d’une personne dépasse l’argent alors soyez au moins reconnaissant avec les personnes qui sont disponibles pour vous", écrit Brenda Biya.
Il faut dire que la fille du chef de l'Etat en sait beaucoup sur l'indisponibilité des hommes, à commencer par ses parents qui doivent très souvent se plier en quatre pour diriger le Cameroun et faire face à leurs adversaires qui veulent à tout pris les voir tomber.
Il y a quelques mois, dans une vidéo, devenu viral sur les réseaux sociaux, la première fille du Cameroun a déclaré être séquestrée dans une chambre de l'hôtel International de Genève.
Décrivant sa situation, Brenda Biya confiait qu'elle avait été bloquée dans sa chambre d'hôtel et qu'elle ne peut se rendre aux urgences pour se fait consulter.
"Je n'ai pas le droit de sortir d'un hôtel pour aller aux urgences. Moi je suis séquestrée dans un hôtel. Ils font ça à leurs autres dossiers ?... des gardes du corps essaient de me menacer de me maîtriser tout ça parce que je veux aller aux urgences", s'exclame-t-elle.
Dépassée par "l'enfer" qu'on lui fait subir, Brenda Biya estime que la dictature est partout. "Je dois mourir avant que quelqu'une ne fasse quelque chose. La dictature c'est partout, même à Genève. Je ne sais pas combien de millions ou de milliards ont leur a donné pour laisser quelqu'un crever. J'ai failli mourir dans cet hôtel en faisant une crise d'asthme", confie-t-elle.