La leçon magistrale de Paul BIYA sur la scène internationale et nationale

La scène politique camerounaise vit des moments dignes d’un scénario à la fois subtil et captivant. Sur le front international, le Président Paul BIYA a bouclé une campagne diplomatique, marquant son empreinte en Chine et en France. Deux étapes stratégiques dans le ballet de la diplomatie mondiale, où le chef de l’État, fort de son charisme et de son expérience, a consolidé des alliances décisives. Mais, comme le veut souvent le destin des grandes figures historiques, derrière les apparences des accords signés et des accolades échangées, l’ombre des rumeurs infondées s’étend. Ces folles rumeurs, que l’on pourrait presque qualifier de fantasmagoriques, ont tenté de troubler l’atmosphère sereine qui caractérise habituellement le retour du Président.

Elles courent, elles s’épaississent, suggérant une scène où quelques têtes pourraient tomber sous un couperet implacable. Mais, qui pourrait croire un instant à ces chimères ? La stature du Président Paul BIYA est telle qu’elle est au-dessus de ces agitations temporaires. Pendant ce temps, sur le front interne, la tempête qui grondait entre le Ministère des Sports et de l’Éducation Physique et la FECAFOOT semble apaisée, probablement en coulisses, par l’impulsion du Chef de l’État. Cette paix retrouvée permet au Cameroun de se repositionner comme une nation où les tensions, bien que vivaces, trouvent toujours une issue dans la concertation. Et alors, que doit-on attendre de cet épisode ? Un retour triomphal du Président semble se profiler à l’horizon, tel le Phénix renaissant de ses cendres après avoir dominé les tempêtes. Peut-être, en effet, quelques têtes rouleront, comme pour symboliser une réaffirmation de l’autorité, mais l’essentiel demeure : le Cameroun, sous la conduite de Paul BIYA, reste un navire dont la direction reste assurée, même au cœur des turbulences. Qui a compris cette leçon politique, à la fois magistrale et mystérieuse ? Ceux qui connaissent la force tranquille de l’homme du Renouveau, peut-être.

Face à l’Atlantique, 9 octobre 2024