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La terre pleure, l'Extrême-Nord se noie, Paul Biya interpellé

Innondation Au Cameroun.png Le désarroi d'Hamidou Troumche

Tue, 17 Sep 2024 Source: www.camerounweb.com

Dans une tribune poignante, Hamidou Troumche, directeur de publication des Montagnards, dresse un tableau saisissant des inondations qui ravagent l'Extrême-Nord du Cameroun. Au-delà des chiffres alarmants - 15 morts, 200 000 sinistrés, 4 000 familles sans abri - l'auteur nous plonge au cœur d'une tragédie humaine où la résilience d'une région entière est mise à rude épreuve. Entre désespoir et lueur d'espoir, ce cri du cœur appelle à une mobilisation urgente pour venir en aide à une population meurtrie par les éléments déchaînés.



La terre pleure, l'Extrême-Nord se noie

Le ciel, qui se déchaîne depuis des semaines, n'a plus de larmes à verser. Il pleut des torrents sur l'Extrême-Nord, des torrents de désespoir qui emportent tout sur leur passage. Les maisons, symboles d'une vie simple et dure, s'effondrent sous les coups de boue, laissant derrière elles des familles brisées, des vies bouleversées. L'Extrême-Nord, berceau de traditions ancestrales, se retrouve aujourd'hui submergé, englouti sous un océan de tristesse et d'incertitude.

Le pont de Yagoua, jadis témoin silencieux des allées et venues de la vie, s'est écroulé sous la pression implacable des eaux. Une fracture symbolique qui divise la ville en deux, la coupant du monde extérieur, comme si elle voulait se réfugier dans la douleur et le silence. Les opérations de secours, déjà difficiles, se trouvent désormais ralenties, freinées par cette nouvelle épreuve. L'aide humanitaire, seule bouée de sauvetage pour les sinistrés, peine à atteindre ceux qui en ont le plus besoin.

Le bilan humain et matériel s'alourdit à chaque heure qui passe, comme si le destin se plaisait à frapper encore et encore. 15 morts, 200 000 sinistrés, 4 000 familles désormais sans abri... Des chiffres qui ne font que mesurer l'étendue de la catastrophe, mais qui ne parviennent pas à traduire la profondeur de la souffrance. Derrière ces chiffres se cachent des visages, des rêves brisés, des histoires à jamais marquées par la tragédie. Les enfants, qui ont tout perdu, regardent l'avenir avec des yeux d'adultes, la peur et la faim gravées sur leurs visages.

L'Extrême-Nord, terre de résilience et de courage, se retrouve aujourd'hui à genoux, face à l'immensité de la catastrophe. Le désespoir se répand comme une traînée de poudre, menace de consumer la flamme de l'espoir. Un espoir qui brille encore dans les yeux de ceux qui luttent pour survivre, pour reconstruire, pour ne pas céder à l'amertume. Il faut de la force, de la solidarité et de la détermination pour relever ce défi colossal. Il faut que l'humanité se mobilise, pour venir en aide à ceux qui souffrent, pour reconstruire ce qui a été détruit. Car l'Extrême-Nord, malgré la douleur, a la force de renaître de ses cendres, comme le phénix de la légende.

Par HAMIDOU TROUMCHE

DP LES MONTAGNARDS

La terre pleure, l'Extrême-Nord se noie🇨🇲

Le ciel, qui se déchaîne depuis des semaines, n'a plus de larmes à verser. Il pleut des torrents sur l'Extrême-Nord, des torrents de désespoir qui emportent tout sur leur passage. Les maisons, symboles d'une vie simple et dure, s'effondrent sous les coups de boue, laissant derrière elles des familles brisées, des vies bouleversées. L'Extrême-Nord, berceau de traditions ancestrales, se retrouve aujourd'hui submergé, englouti sous un océan de tristesse et d'incertitude.

Le pont de Yagoua, jadis témoin silencieux des allées et venues de la vie, s'est écroulé sous la pression implacable des eaux. Une fracture symbolique qui divise la ville en deux, la coupant du monde extérieur, comme si elle voulait se réfugier dans la douleur et le silence. Les opérations de secours, déjà difficiles, se trouvent désormais ralenties, freinées par cette nouvelle épreuve. L'aide humanitaire, seule bouée de sauvetage pour les sinistrés, peine à atteindre ceux qui en ont le plus besoin.

Le bilan humain et matériel s'alourdit à chaque heure qui passe, comme si le destin se plaisait à frapper encore et encore. 15 morts, 200 000 sinistrés, 4 000 familles désormais sans abri... Des chiffres qui ne font que mesurer l'étendue de la catastrophe, mais qui ne parviennent pas à traduire la profondeur de la souffrance. Derrière ces chiffres se cachent des visages, des rêves brisés, des histoires à jamais marquées par la tragédie. Les enfants, qui ont tout perdu, regardent l'avenir avec des yeux d'adultes, la peur et la faim gravées sur leurs visages.

L'Extrême-Nord, terre de résilience et de courage, se retrouve aujourd'hui à genoux, face à l'immensité de la catastrophe. Le désespoir se répand comme une traînée de poudre, menace de consumer la flamme de l'espoir. Un espoir qui brille encore dans les yeux de ceux qui luttent pour survivre, pour reconstruire, pour ne pas céder à l'amertume. Il faut de la force, de la solidarité et de la détermination pour relever ce défi colossal. Il faut que l'humanité se mobilise, pour venir en aide à ceux qui souffrent, pour reconstruire ce qui a été détruit. Car l'Extrême-Nord, malgré la douleur, a la force de renaître de ses cendres, comme le phénix de la légende.

Par HAMIDOU TROUMCHE

DP LES MONTAGNARDS

La terre pleure, l'Extrême-Nord se noie🇨🇲

Le ciel, qui se déchaîne depuis des semaines, n'a plus de larmes à verser. Il pleut des torrents sur l'Extrême-Nord, des torrents de désespoir qui emportent tout sur leur passage. Les maisons, symboles d'une vie simple et dure, s'effondrent sous les coups de boue, laissant derrière elles des familles brisées, des vies bouleversées. L'Extrême-Nord, berceau de traditions ancestrales, se retrouve aujourd'hui submergé, englouti sous un océan de tristesse et d'incertitude.

Le pont de Yagoua, jadis témoin silencieux des allées et venues de la vie, s'est écroulé sous la pression implacable des eaux. Une fracture symbolique qui divise la ville en deux, la coupant du monde extérieur, comme si elle voulait se réfugier dans la douleur et le silence. Les opérations de secours, déjà difficiles, se trouvent désormais ralenties, freinées par cette nouvelle épreuve. L'aide humanitaire, seule bouée de sauvetage pour les sinistrés, peine à atteindre ceux qui en ont le plus besoin.

Le bilan humain et matériel s'alourdit à chaque heure qui passe, comme si le destin se plaisait à frapper encore et encore. 15 morts, 200 000 sinistrés, 4 000 familles désormais sans abri... Des chiffres qui ne font que mesurer l'étendue de la catastrophe, mais qui ne parviennent pas à traduire la profondeur de la souffrance. Derrière ces chiffres se cachent des visages, des rêves brisés, des histoires à jamais marquées par la tragédie. Les enfants, qui ont tout perdu, regardent l'avenir avec des yeux d'adultes, la peur et la faim gravées sur leurs visages.

L'Extrême-Nord, terre de résilience et de courage, se retrouve aujourd'hui à genoux, face à l'immensité de la catastrophe. Le désespoir se répand comme une traînée de poudre, menace de consumer la flamme de l'espoir. Un espoir qui brille encore dans les yeux de ceux qui luttent pour survivre, pour reconstruire, pour ne pas céder à l'amertume. Il faut de la force, de la solidarité et de la détermination pour relever ce défi colossal. Il faut que l'humanité se mobilise, pour venir en aide à ceux qui souffrent, pour reconstruire ce qui a été détruit. Car l'Extrême-Nord, malgré la douleur, a la force de renaître de ses cendres, comme le phénix de la légende.

Par HAMIDOU TROUMCHE

DP LES MONTAGNARDS

Source: www.camerounweb.com