'Le beignet aux excréments c'est rien' : une célébrité révèle ce que les femmes font pour fidéliser leur mari

Il y a quelques heures, une information provenant d’Obala (commune du département de la Lekié dans la région du Centre) a choqué tout le monde. Un homme a été attrapé en train de déféquer sur son lieu de commerce. Il utiliserait depuis des années maintenant ses selles qu’il mélangerait à la farine du beignet qu’il commercialise.

Le commerçant se nomme Louis Bernard Ndiki et il est vieux de quarante-sept (47) ans. Habituellement, il fait popo dans le récipient où il pétri de la farine pour en faire des beignets. Lesquels beignets sont ensuite vendus avec du haricot et de la bouillie chaude.

Et les informations que nous avons reçues font état de ce que notre très cher vendeur faisait un chiffres d’affaires fou dans la zone : « D'après les témoignages, ses beignets sont très prisés des populations de cette localité. Il faut noter qu'il vend depuis près de quinze (15) ans ».

Enfants, adultes (hommes et femmes), étrangers ne s’en fatiguaient pas. Les consommateurs dégustaient sans cesse les beignets au goût particulier et au parfum très attirant. Ce n’est qu’après avoir appris la triste nouvelle qu’ils ont subitement commencer par avoir l’envie de vomir tout ce qu’ils ont mangé pendant ces quinze années en question.

L’actrice et productrice Flavienne Tchatat trouve que ces beignets mélangés avec des excréments ne sont rien : « En vérité l'histoire des beignets ci n'est rien comparée à ce que certains hommes avalent ici dehors surtout ceux qui ont un peu d’argent. Oh mets lui ça dans le repas et sous le lit, il va t’écouter et te donner tout ce que tu veux.

Après c'est soit la maison qui devient invivable, soit l’homme d’autrui qui voit sa santé dégrader à cause des conneries que tu lui as fait avaler. Ces pratiques malsaines profitent plus à leurs auteurs et la nature si rigoureuse sait faire tomber les masques en son temps.

La seule vraie magie durable pour agrandir sa clientèle c'est de mettre en pratique la technique : qualité et service. C'est la satisfaction d’un client qui attire l’autre.

Si l'homme avait réellement un pouvoir suprême d’envoûtement, on ne compterait pas autant de divorces dans les tribunaux sans compter les crimes passionnels », a posté Flavienne sur son compte.