Le couple Bassogog construit un immeuble de 7 niveaux au pays

« Le milliardaire chinois ». C’est comme cela que beaucoup de personnes appellent comiquement l’international camerounais Christian Mougang Bassogog, meilleur joueur de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2017). Le gaucher robuste s’est fait beaucoup d’argent en très peu de temps.

Christian Mougang Bassogog est passé de zéro à héro. Ce jeune que personne ne connaissait il y a encore quelques années, a crevé l’écran lors de la compétition susmentionnée. Depuis lors, sa carrière a pris une dimension stratosphérique.

Maintenant, il n’est pas un titulaire indiscutable en équipe nationale mais du côté de la Chine, il gagne beaucoup d’argent avec son club de Shanghai Shenhua dans le championnat de première division chinoise.

Sa femme Maileine est heureuse à ses côtés. Elle bénéficie du compte en banque de son mari, le footballeur célèbre. Nous venons d’apprendre que la madame Bassogog construit un immeuble de sept (07) niveaux avec l’appui de son mari Christian Mougang Bassogog.

« Félicitations à l’épouse du footballeur camerounais de 27 ans qui est désormais propriétaire d’un immeuble d’appartements meublés qui ouvrira ses portes bientôt », peut-on lire chez Peupah Zouzoua.

Ayant entamé le projet en 2021, elle « avoue avoir rencontré sur son chemin de nombreux obstacles et dit même que la construction c’est le cardio surtout au pays. Ingénieure en bâtiment, c’est son premier grand projet personnel car elle possède également d’autres propriétés notamment deux duplex servant de meublés ».

Le blogueur écrit : « À ceux qui disent qu’elle va dominer son mari, elle a répondu que ce qui est à elle est également à lui. Notons qu’elle supervisait le chantier avec la grossesse de sa troisième fille et ladite bâtisse s’appellera « Cleyah House », mélange des noms de ses filles et du sien.



« Dja femme qui va amener son jeune mignon mari loin, quand tu vois tu sais. Pas les mekat croqueuses de diamants de nos frères footeux là. Bravo au couple et plein de bonnes choses à eux », conclut Zouzoua.