Boris Bertolt dénonce Ferdinand Ngoh Ngoh dans l'affaire Martinez Zogo
L’affaire de l’assassinat du journaliste Martinez Zogo et ses commanditaires présumés se poursuit avec son lot de mensonges. Une féroce guerre des clans est en cours, chaque partie essayant d’utiliser suffisamment l’opinion publique en sa faveur et mettre hors-jeu la partie adverse.
La lanceur d’alerte Boris Bertolt y croit plus que tout le monde. Il cite même des noms. D’un côté il y a le richissime homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga et de l’autre se trouve le ministre d’Etat et secrétaire général de la présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh.
Le journaliste en exil dénonce une stratégie mise en œuvre et qui l’implique. Celle de sa page Facebook anciennement utilisée et qui serait maintenant dans les mains des personnes mal intentionnées qui se font passer pour lui. Il a fait une publication pour éclairer la lanterne de tous les lecteurs.
Je ne suis pas responsable du fait que vous refusez de signaler la fausse page certifiée juste par méchanceté. Ceux qui me suivent connaissent mes vraies pages et mon style d’écriture.
Voilà des semaines que je dénonce ici la fausse page certifiée Boris Bertolt. J’ai dit ici à plusieurs reprises que cette page était celle de Ferdinand Ngoh Ngoh et ses amis.
Ils utilisent aujourd’hui ma crédibilité (car j’ai conscience que je suis le Camerounais le plus suivi et le plus attendu) pour faire avancer également leur agenda politique dans le dossier Martinez Zogo en essayant non seulement d’éliminer de supposés adversaires mais de placer à la tête des services de renseignement un de leur pion.
Le nom est connu, je le dévoilerai en temps opportun. L’homme à la punk a l’argent, il a ses Israéliens, il a Galax et tient dans sa main une police qu’il veut confier à Baya. Il ne lui reste que la DGRE pour cerner totalement le vieux lion et l’affaire de Martinez lui donne l’opportunité de manœuvrer, et de bien manœuvrer. Les circonstances aidant certainement.
Ma page qu’ils ont volée, parce que c’est de ça qu’il s’agit puisqu’ils utilisent mon identité, cette fausse page a été créée en décembre 2007 sous le nom de Spencer Bachus. Spencer Bachus est un ancien membre du Congrès des Etats-Unis de l’Etat de l’Alabama.
Par la suite, la page a été modifiée le 14 octobre 2022 en « Boris Bertolt Bachus » puis le 17 octobre 2022 en « Boris Bertolt ». C’est-à-dire au moment où tous mes vrais comptes et pages étaient systématiquement désactivés. La page a deux administrateurs pour l’instant, l’un au Cameroun et l’autre en Suisse.
J’ai demandé ici à tous mes followers de signaler cette page. J’ai fait des vidéos, des posts, des directs, j’ai bien indiqué à chaque fois que faites attention, vous serez induits en erreur.
Cette fausse page reprend à la fois les informations que je publie et donne avec mon nom des informations qui ne sont pas de moi pour semer la pagaille dans l’opinion. C’est également une guerre de l’information et vous devez le savoir.
Mais beaucoup de Camerounais par mauvais cœur parce qu’ils veulent me voir quitter Facebook ont refusé de signaler cette page. Je ne suis pas responsable. Assumez vos actes. Vos comportements.
Ceux qui me suivent savent que j’ai un compte Telegram dans lequel je publie également et où toutes mes publications se trouvent. Je ne suis pas responsable de la méchanceté de ce peuple mais tenez-vous tranquille.
J’ai déjà subi sur Facebook toutes sortes d’attaques, de mensonges, y compris venant de ce qu’on appelle la résistance camerounaise. Mais j‘ai toujours tenu bon. Je suis resté au top. Je survivrais également à cette attaque.
