Le patron de presse Cyrille Bojiko est cité dans un scandale qui choque rien que de l’entendre. Le lanceur d’alertes Nzui Manto persiste et signe que l’homme de média n’est pas tout blanc dans deux (02) affaires distinctes qu’il prend le soin de raconter sur les réseaux sociaux.
Un (01) mort sur le terrain familial de Cyrille Bojiko et un (01) disparu sur le chantier de Cyrille Bojiko. Les soutiens et amis du journaliste s'agitent, s'excitent depuis hier suite à mes différentes publications.
Soutiens qui me rappellent le cas d'un certain Jean-Pierre Amougou Belinga aujourd'hui, enchaîné au gnouf à Yaoundé. Il convient de rappeler qu'en aucun moment, je n'ai accusé le patron de Balafon Média d'un quelconque crime que ce soit.
J'ai tout simplement révélé une information dont le principal concerné, journaliste et patron d'une chaîne de télévision et radio devrait en toute logique relayer en premier dans ses médias à savoir la mort d'un enfant dans la propriété familiale. Il ne l'a pas fait, lui dont sa radio et télévision informent minute par minute sur l'actualité du pays.
En toute discrétion il s'est rendu auprès de la maman de la victime offrant 100 000 francs CFA pour les obsèques. Une insulte et un mépris pour celui qu'on présente comme une valeur. Pourquoi n'a-t-il pas contacté les autorités, police ou gendarmerie afin de mener une enquête et déterminer les circonstances de ce drame ?
Drame qui a ressuscité celui de papa Fomena disparu du chantier de Monsieur Bojiko en 2014 ? Monsieur Bojiko avait d'ailleurs répondu à une plainte de la famille de papa Fomena à la police judiciaire de Bonanjo et ce jour-là, le patron de Balafon Média était accompagné du député Manfouo David.
Les deux (02) hommes en étaient sortis de la police judiciaire riant. La plainte n'a jamais connu de suite jusqu'à ce jour. J'ai vu un docteur factice, tiers-mondiste demander à soutenir Bojiko.
Il s'agit du même docteur qui s'était rendu en Afrique de l'Ouest pour participer aux conférences sur le panafricanisme et quelques jours plus tard au Cameroun, soutenait les propos tribalistes de Claude Abe demandant à certains Camerounais des grandes métropoles de rentrer chez eux ».