Il y a des moments intimes qu'on préfère oublier. Ils sont si désagréables qu'on ne voudrait pas en parler à quiconque. Mais la jeune fille dont l'histoire suit prend son courage à deux mains et se confie.
Mon pire 'mougouli' (mot utilisé un peu partout pour parler de rapport sexuel, ndlr) s'est passé hier soir avec un élément que j'ai rencontré il y a quelques semaines.
J'arrive chez lui déjà, l'odeur de sa chambre est nauséabonde, il ouvre sa bouche, c'est un autre problème, on dirait toilette publique. J'étais coagulé, en plus j'étais déjà là, je ne voulais pas gaspiller mon essence pour rien.
Je me rassure, je serre mon cœur. Zéro préliminaire, pour la bouche-là, je ne peux pas. Il se déshabille, je vois un 'kikinette'. Voici le monsieur sur moi en train de se débattre lui seul comme un chimpanzé.
Je commence à pleurer à même temps, j'ai gaspillé mon temps pour rien. Pine molle comme ça, je ne ressens rien. Au moment de jouir, faut le voir trembler on dirait il a la grippe aviaire. Deux minutes en tout et pour tout, je l'ai poussé, je lui dis « plus jamais ne te trompe pour m'écrire encore, imb3cile ». En plus, il est vilain. Blocage direct et suppression de son contact.