En réaction à notre article sur ses commentaires infâmes et inacceptables de tribalisme et de suprématisme, Juste Mesmin YOPA NGANTCHA insinue qu’il s’agit d’un projet communautaire.
« Nous devrons être plus tranchant avec vous, pour ne plus subir tous les noms d’oiseaux que vous et vos semblables nous attribuez », invective le suprématiste.
Il s’agirait donc visiblement d’un projet communautaire. Tout au moins dans le langage détestable et visiblement désorienté, désorganisé, de cet activiste du tribalisme.
Un projet qui serait une réaction aux appellations « Bam’s, Bosniaque » qui, pour lui, sont des insultes. Ou encore, et de ses propres mots, le fait d’exclure « le Bam’s de la gouvernance du pays ».
Dans sa bouche, l’expression n’a visiblement plus le même sens. « Sachez que l’homme Bamiléké en a marre de votre imposture. Nous vous rendrons coup sur coup et riposte sur riposte », martèle-t-il.
« Si t’es pas content, conclut-il, tu sais où se trouve la CPI. » Ce qui montre qu’il est quand-même conscient de l’infamie de ses propos.
En réaction à une publication non moins critiquable, faisant allusion à une tribu qui aurait bénéficié de « son assiduité à l’endroit du maître », le suprématiste bamileké s’est lancé dans une dérive tribaliste inacceptable.
Entre insultes à caractère personnel, propos discriminatoires et injurieux envers les tribus autres que les bamilekés, apologie de ceux-ci et déni d’authenticité, ignorance ou omissions historiques volontaires, le suprématisme y est à son comble.