Les diffamateurs de Nsangou se déchirent pour les 20 millions des commanditaires

En tête d’affiche du pool des affabulateurs, Jean Yves Ngono Misso le président national du Syndicat des travailleurs du secteur de développement des ouvrages de production, de transport et de régulation de l’électricité (Syndoptre). Selon des enquêtes menées par Camer.be, l’un des calomniateurs engagés par ceux qui veulent à tout prix et à tous les prix le poste de directeur général (Dg) de Théodore Nsangou à Electricity Development Corporation (EDC), n’aurait pas apprécié les règles du partage des 20 millions Fcfa, et a décidé de tout déballer.

L’on connait de mieux en mieux à présent, les raisons pour lesquelles Jean Yves Ngono Misso écume à longueur de journée, les radios de Yaoundé. A en croire nos enquêtes, le président national du Syndoptre, appuyé par plusieurs autres activistes des réseaux sociaux, travaille à noircir l’image de Théodore Nsangou le Dg de EDC. En effet, nous apprennent nos investigations, un pactole de 20 millions Fcfa a été offert en compensation à l’équipe des personnes chargées de déstabiliser EDC, avec à leur tête, Jean Yves Ngono Misso. Seulement, le partage des deux dizaines de millions Fcfa, ne serait pas fait de manière équitable. Toute chose qui selon notre source, a conduit l’un des « saboteurs » de Théodore Nsangou, à tout mettre sur la place publique.

De ce dernier, nous apprenons que l’activisme médiatique de Jean Yves Ngono Misso, n’a rien à voir avec le syndicalisme, mais, est plutôt l’acquittement d’une basse besogne : déstabiliser EDC et faire chuter Théodore Nsangou son directeur général.

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Jean Yves Ngono Misso, un affidé des services de renseignements

Présent sur le plateau d’une radio de la capitale le 18 mars 2018, le jour même où il annonçait joie exquise la comparution de Théodore Nsangou et d’Edgard Alain Mebe Ngo’o au tribunal criminel spécial (Tcs) pour le lendemain, le président du Syndoptre ne s’est pas privé d’indiquer que des jours plutôt, il avait été entendu à la DGRE, et au Tcs, au sujet de la gestion de EDC et du barrage hydroélectrique de Lom Pangar. Et juste après la fin du le crochet

radiophonique, Jean Yves Ngono Misso avait confié qu’il avait le pas pressé, parce qu’ayant un rendez-vous avec la Direction de la surveillance du territoire (Dst), « pour leur donner un certain nombre d’informations compromettantes sur Théodore Nsangou ».

Un leader syndicaliste accusé de détournement des fonds des membres

Alors que Jean Yves Ngono Misso sans doute motivé par la cagnotte de 20 millions Fcfa misée par les lobbys mafieux qui veulent coute que vaille la tête de Théodore Nsangou le Dg de EDC, écume les radios urbaines de Yaoundé pour s’acquitter de sa sombre et honteuse besogne, aucun mot n’est cependant dit sur sa gestion des fonds du Syndoptre. De nos informations, il ressort que le mythomane syndicaliste et employé à EDC (agence de l’Est à Bertoua), est accusé pour un détournement présumé de cinq millions Fcfa représentant les cotisations des adhérents du syndicat dont il a la charge.

Aussi, apprenons-nous que depuis plusieurs mois, les membres du Syndoptre exigent un rapport financier. Document du reste inexistant dans la gestion opaque et calamiteuse du syndicat. « En avril dernier, Monsieur Ngono Misso a essayé de nous distraire du rapport financier que nous lui exigeons, en organisant un insignifiant tournoi de football au sein du Syndicat », nous confie un membre du Syndoptre qui a requis l’anonymat. Et selon des rumeurs de plus en plus persistantes, les membres du syndicat qui ont déjà compris que les actions de Jean Yves Ngono Misso n’ont rien à voir avec le syndicalisme, s’apprêteraient d’ailleurs à l’éjecter de son fauteuil de président.

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Voilà donc démasqué, un homme qui se servant d’un syndicat, travaille plutôt pour le compte des lobbys ayant décidé de faire tomber Théodore Nsangou le Dg de EDC, avec comme rétribution, une cagnotte de 20 millions Fcfa à répartir entre calomniateurs à gage. Rondelette somme qui aux dires de nos informations, a semé une violente discorde dans le pool des « saboteurs ».

Et pour ce qui est du barrage hydroélectrique de Lom Pangar, modèle de gestion et de réalisation de projet en la matière sur le continent selon la très exigeante Banque mondiale, ce dernier, ne souffre d’aucune difficulté : qu’elle fut managériale, financière, humaine ou environnementale.