« Le Gabon depuis le premier AVC d’Ali Bongo était dirigé par Sylvia Bongo Ondimba née Valentin. Cette Française d'origine qui a connu très tôt l'Afrique et qui a passé une grande partie de son adolescence au Cameroun.
Car oui sa famille vit au Cameroun à Douala. Elle est la fille d'un puissant chef d'entreprise d'origine française implantée au Gabon depuis des décennies.
Sylvia Bongo née Valentin a donc toujours été considérée par les Gabonais comme un indic de la France au Gabon et par conséquent n'a jamais pu faire l'unanimité au sein de la population.
Et ce d'autant plus qu'elle a été toujours vue comme celle qui faisait absolument tout pour maintenir son mari malade au pouvoir dans la seule optique de faire de leur fils aîné le nommé Nouredinn Bongo Valentin (qui se trouve gardé en lieu sûr par l’armée) le remplaçant de son père à la tête du Gabon.
Si Ali Bongo se retrouve donc dans cette situation honteuse aujourd'hui, c'est en grande partie à cause de l'ambition maladive et la soif de pouvoir de Sylvia Bongo Ondimba.
Morale : Sachez choisir vos épouses car une bonne épouse est sujet à prospérité et à victoire. Je ne sais pas vous mais son portrait ressemble à celui d'une autre personne trait pour trait (Chantal Biya, ndlr) ». C’est signé Jorel Jacques Zang.
Là-dessus les opinions sont partagées. Peu importe la femme qu’on peut avoir et les conseils les plus déplacés qu’elle puisse donner, la décision finale revient à l’homme, avance un observateur qui se justifie.
« Je ne suis pas d'accord avec toi sur certains points comme par exemple savoir choisir sa femme : le légume grabataire jouisseur roi qui veut à tout prix nous imposer son trafiquant de fils n'avait pas une très bonne et pieuse épouse à ses côtés ? Et nous tous avons vu comment elle avait fini sa vie sur terre donc pour moi une bonne épouse doit être à côté d'un homme aussi qui sait faire la part des choses en fonction du temps et des réalités présentes/ Donc le régime et leurs soutiens franckystes sont en train de trembler en ce moment et ils sont déjà au laboratoire pour éviter un Gabon bis au 237 », dit-il.