Les élus sensibilisés sur les Gaz à effet de serre

Sénateurs En Séance Parlementaire Photo d'archives utilisée à titre d'illustration

Fri, 24 Jun 2016 Source: fr.allafrica.com

Sensibiliser les parlementaires sur les menaces qui pèsent sur le processus de Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) au Cameroun. Tel est le but de l'atelier qui a réuni mercredi une quarantaine de participants dans la salle des commissions du palais de Verre de Ngoa-Ekellé. Le Cameroun qui a, à cœur, d'élaborer sa stratégie nationale Redd+ d'ici la fin de l'année est, en effet, engagé depuis 2005 dans ce processus qui lui permet, à l'instar d'autres pays en développement, de bénéficier d'un accompagnement des pays développés dans sa lutte contre la destruction des forêts. Et les attentes sont énormes. « Nous nous attendons à ce qu'il y ait des ressources pour financer notre plan.

Sensibiliser les parlementaires sur les menaces qui pèsent sur le processus de Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) au Cameroun. Tel est le but de l'atelier qui a réuni mercredi une quarantaine de participants dans la salle des commissions du palais de Verre de Ngoa-Ekellé. Le Cameroun qui a, à cœur, d'élaborer sa stratégie nationale Redd+ d'ici la fin de l'année est, en effet, engagé depuis 2005 dans ce processus qui lui permet, à l'instar d'autres pays en développement, de bénéficier d'un accompagnement des pays développés dans sa lutte contre la destruction des forêts. Et les attentes sont énormes. « Nous nous attendons à ce qu'il y ait des ressources pour financer notre plan. Et donc, la REDD+ est un mécanisme mis en place par la Communauté internationale pour financer ce développement propre. Il va falloir, de ce fait, montrer patte blanche au niveau de la Communauté internationale afin que les financements arrivent à la bonne destination », a indiqué l'honorable Jean-Jacques Zam, coordonnateur du Réseau des parlementaires pour la gestion durable des écosystèmes forestiers et humides d'Afrique centrale (REPAR). Seulement, le processus, qui en est aujourd'hui à sa première étape sur trois, souffre d'entraves telles que « la corruption et le manque d'intégrité », a relevé Charles Nguini, le président de Transparency International Cameroun.

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