La SG de l’OIF était l’hôte du Bureau régional Afrique Centrale et Grands Lacs de l’Agence universitaire de la Francophonie, hier à Yaoundé.
« Attention, je suis une passionnée du suivi ». Propos de la secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, à l’endroit du Pr. Alain Ondoua, directeur du Bureau régional Afrique Centrale et Grands Lacs de l’Agence universitaire de la Francophonie (BACGL). Une phrase venue conclure trois quarts d’heure d’une visite dans les locaux de cet opérateur de la Francophonie.
Comme un peu partout où elle devait rencontrer les gens sur le terrain, Michaëlle Jean s’est montrée très à l’écoute de leurs préoccupations. Elle a échangé avec les étudiants et les chercheurs qui se trouvaient dans les locaux du BACGL situé à côté du lycée Leclerc.
C’est après ces entretiens spontanés et riches en enseignements sur le vécu de quelques universitaires que la SG de l’OIF a eu une audience plus formelle avec le Pr. Alain Ondoua.
Pendant un quart d’heure, Michaëlle Jean a pris le pool du BACGL. « Une représentation qui gère des réalités à géométrie variable, en fonction de la taille des pays et de leurs universités », a souligné le Pr. Alain Ondoua.
Avant de signer le livre d’or, la SG de l’OIF a répercuté les attentes des francophiles rencontrés durant son séjour et elle a aussi partagé avec le directeur du BACGL sa vision.
« Sur la stratégie de la Francophonie économique, l’AUF devrait être plus présente à travers son réseau d’universités et les formations innovantes qu’elles offrent, mais qui sont inconnues du grand public ». Michaëlle Jean s’est engagée à y veiller.