Les suspects dans l’affaire de l’assassinat odieux du journaliste Martinez Zogo sont en train de passer un après l’autre devant la justice pour des enquêtes complémentaires. C’est le cas par exemple du boss de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) Léopold Maxime Eko Eko.
Le magnat de la presse camerounaise Jean-Pierre Amougou Belinga n’est pas écarté. Les deux (02) personnes sont enfermées à la prison principale de Kondengui à Yaoundé pour avoir participé à de différents degrés à la torture suivie de la mort de l’homme de média Arsène Mbani Salomon Zogo dit Martinez.
On susurre que ces personnes dont la participation au meurtre ne fait vraiment plus aucun doute, si on se fie aux témoignages faits par les membres du commando exécutant les ordres, pourraient être remises en liberté.
Le journaliste Rémy Ngono a donc réalisé un direct qu’il a titré : « Urgent ! Libération des assassins de Martinez Zogo : les vérités cachées ».
Son intervention amène un observateur à dire : « Justice pour Martinez Zogo, justice pour Bryan Fombor, justice pour les crimes économiques des lignes 94, 65 et 57. Ce sont les mêmes criminels dans tous ces dossiers, tous en prison, les commanditaires et les complices. Justice pour le peuple camerounais maltraité. Merci Rémy Ngono de continuer à dénoncer ces assassins ».
« Voilà pourquoi je t'appelle Raymond Reddington de la série Blacklist parce que tu as une liste noire des criminels du pays. En matière d'investigation et d'informations tu demeures le meilleur », lâche un autre compatriote.