MRC : Armand Noutack II débarque chez Jean De Dieu Momo et s’attire la foudre de la toile

Armand Noutack II débarque chez Jean De Dieu Momo

Tue, 30 May 2023 Source: www.camerounweb.com

Armand Noutack II, cadre du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun dirigé par Maurice Kamto et fervent soutien de Samuel Eto'o, se distingue par son approche pacifique de la lutte politique. Il n'hésite pas à dénoncer les dérives des membres de son propre parti, ce qui lui attire les foudres de certains. Récemment, il a posé un acte controversé en rendant visite au Ministre Jean de Dieu Momo.

"En faisant un arrêt au ministère de la justice à Yaoundé, j'ai répondu à l'invitation du Ministre Délégué Jean De Dieu Momo... Nous avons échangé sur l'état de la République. Il est important de souligner que je suis responsable de mes publications, et non des commentaires qui y sont formulés. Je vous prie donc d'être polis dans vos réactions, car c'est par la civilisation que nous construirons un Cameroun meilleur. Les Camerounais doivent se parler, et ils le feront", a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

Les réactions à cet acte sont mitigées. Certains admirent son geste et expriment leur soutien, tandis que d'autres le critiquent avec véhémence.

"La politique n'est pas la guerre, et je salue ton courage ainsi que ton slogan prônant le dialogue entre les Camerounais. Merci pour ta contribution à l'unité que tu promeus quotidiennement sur ta page", a commenté un internaute.

"Armand Noutack II, chargé de mission du RDPC, tu es désormais dans ta véritable famille", peste un autre.

"Je suis un fervent partisan du Ministre Jean de Dieu Momo, le seul ministre ouvert d'esprit. J'apprécie énormément sa personnalité", soutient un autre internaute.

Ce geste d'Armand Noutack II suscite donc des réactions contrastées au sein de l'opinion publique. Alors que certains saluent son ouverture d'esprit et son engagement pour le dialogue, d'autres le critiquent en lui rappelant son appartenance présumée au RDPC. Ces réactions divergentes témoignent des clivages politiques qui persistent dans le pays.

Source: www.camerounweb.com