Dans cette chronique acérée, Shance Lion dresse le portrait d'une Calixthe Beyala obsessionnelle et déchue, passée de figure littéraire respectée à personnalité controversée. L'auteur pointe du doigt sa fixation présumée sur Ferdinand Ngoh Ngoh (dit Mvondo Ayolo), Secrétaire Général de la Présidence camerounaise, et son incapacité à capitaliser sur son statut d'écrivaine, terni par plusieurs condamnations pour plagiat. Entre accusations de jalousie et rappels des scandales littéraires qui ont jalonné sa carrière, ce texte révèle les tensions qui entourent la romancière franco-camerounaise et questionne sa légitimité à s'immiscer dans certaines affaires politiques du Cameroun.
CALIXTHE BEYALA N'A QU'UN SEUL PROBLÈME AU CAMEROUN: MVONDO AYOLO.
DÈS QUELLE APPREND DANS UN KONGOSSA QUE LE GRAND LÀ, A DIT BONJOUR À UNE GO, ELLE EST DANS TOUS SES ÉTATS, RIEN NE L'ARRÊTE PLUS. CALIXTHE BEYALA, N'A PAS SU, N'A PAS PU CAPITALISER CE QUELLE EST, DU MOINS CE QUELLE A ÉTÉ, AVANT QUE LES PROCÈS POUR PLAGIAT D'ŒUVRE LITTÉRAIRE NE LUI TOMBENT DESSUS. ELLE ÉTAIT RÉGULIÈREMENT CONSULTÉE, ELLE PASSAIT CHAQUE JOUR DANS LES MÉDIAS POUR DONNER SES AVIS, SA PAROLE COMPTAIT ENCORE, LES GENS ÉCOUTAIENT CE QUELLE DISAIT, CAR POUR EUX, IL S'AGISSAIT D'UNE GRANDE ÉCRI-VAINE, ÉCRI-VAINE JUSQU'À CE QUE CECI DEVIENNE VAIN SUITE À DES PROCÈS POUR PLAGIAT. HORS DANS LE PAYS OÙ ELLE VIT, OÙ ELLE A CONSTRUIT, DANS LE PAYS OÙ ELLE PAYE SES IMPÔTS, OÙ ELLE RESPECTE LES DIRIGEANTS, OÙ ELLE FAIT VIVRE L'ÉCONOMIE EN DÉPENSANT LE PEU D'ARGENT QU'ELLE A GAGNÉ, LES CHOSES COMME LES PLAGIATS, ÇA VOUS MET EN MARGE DE LA SOCIÉTÉ, VOUS DEVENEZ UNE PARIA.
●Calixthe Beyala Multirécidiviste
Le cas : une quarantaine de passages, pas moins : dans Le Petit Prince de Belleville (Albin Michel, 1992), Calixthe Beyala s'est beaucoup inspirée de Howard Buten et de son roman Quand j'avais cinq ans, je m'ai tué (Seuil, en 1981). Plus tard, on a appris que Beyala avait également repris des passages de La Vie devant soi (Mercure de France), de Romain Gary, Goncourt 1975, et d'autres provenant de Fantasia chez les ploucs, de Charles Williams. Deux autres de ses récits ont été suspectés « d'emprunts » puisés chez Ben Okri et Paule Constant.
Le jugement : en mai 1996, le tribunal de grande instance de Paris a jugé qu'il y avait « contrefaçon partielle ». Reconnaissant ses torts, la plagiaire n'avait pas fait appel.
https://www.lefigaro.fr/.../03005-20070920ARTFIG90223...
●Le Grand qui gère les affaires privées du PRC a le droit de tanner avec qui il veut, c'est son droit le plus absolu, il a le droit aussi de ne plus ou ne pas tanner Calixthe Beyala, c'est également son droit exclusif...Tout comme la BIG, peut accepter de se faire tanner par le BOIT BANDÉ de n'importe qui, le BIG là n'en serait point jaloux.
●NADIA MURTE a le droit de gagner le marché de la Communication du Candidat du RDPC à l'élection Présidentielle, ceux qui peuvent contester celà, sont les militants et Cadres du RDPC, je ne me souviens point que Calixthe Beyala en soit une... Sauf si elle fait partie de L'association dénommée OPPOSANT LE JOUR, RDPC LA NUIT. De Nombreux Camerounais gagnent des marchés de Communication des candidats aux Présidentielles un peu partout en Afrique, le BAO qui avait un Jet Privé et qui est aujourd’hui en Bas là-bas en avait gagné dans de nombreux pays, un autre Camerounais est même Conseiller d'un Chef D'état d'un Grand pays africain, qui a des problèmes avec Kagame.
●Donc Calixthe, il faut cesser de courir après le passé, ce qui est passé est passé, Si toi, Grande écrivaine, n'as pas pu ouvrir une MAISON D'ÉDITION AU CAMEROUN, ou une BIBLIOTHÈQUE du Temps où tu étais encore Tout feu, tout flamme, afin de promouvoir d'avantage la littérature française (Oui, car tu es une folle amoureuse de la France et de sa langue), ce n'est pas de la faute du Grand là, c'est de ta propre faute, les opportunités, tu en as eu, les contacts, tu en as eu, les moyens également, tu en as eu, au lieu de ça, tu préférais être la Française d'origine Africaine, qui sourit au milieu des Mekat dans les médias Français et chanter partout que tu es la DJOMBA d'un homme marié, du jamais vu, nul ne peut donc se prévaloir de sa propre turpitude dit-on.
Shance Lion