Puisqu’il n’a jamais caché sa grande admiration pour le Chef de l’Etat et sa vision pour un Cameroun émergent, Manaouda Malachie n’hésite pas aujourd’hui à se projeter ouvertement sur les prochaines années, au service du même leader et de sa pensée éclairée.
Pour lui, tout est désormais bien clair. Le Cameroun a plus que jamais besoin de Paul Biya, ce guide éclairé, dont le poids du temps semble ne pas corrompre l’immense sagesse. Manaouda Malachie exprime donc sans ambages son désir de se tenir derrière le candidat naturel du parti national, lors de la prochaine élection présidentielle prévue en 2025. Tout en remerciant le Ciel qui a fait à ce pays la grâce d’un homme oint à sa tête, il n’hésite pas à élever des prières afin que le Président de la République continue de trouver l’énergie et la sagesse nécessaires pour poursuivre la longue marche vers l’émergence si bien entamée.
« Je pense clairement que Paul Biya est le Moïse que Dieu a envoyé au Cameroun, à l’Afrique, pour mener son peuple vers sa destinée. Et tant que le Bon Dieu lui prête vie, nous devons bénéficier de sa vision, de sa politique, de ses conseils… » C’est donc avec conviction et sans nuance aucune que le Dr Manaouda Malachie appelle aujourd’hui le Président Paul Biya à une nouvelle candidature pour les prochaines échéances électorales de 2025.
Par cette invitation à briguer un nouveau mandat à la tête de l’Etat, ce fils du MayoTsanaga projette un meilleur accomplissement d’une mission divine, qu’assumerait « l’Homme du renouveau », depuis son accession au pouvoir en 1982.
Ainsi, penset-il, « plusieurs grands projets et réalisations arriveraient véritablement à leur achèvement, et les fruits de la croissance eux aussi, auraient eu le temps d’atteindre un mûrissement effectif, pour le bien de tout le peuple camerounais, voire africain. En dévoilant cette pensée du Ministre de la Santé Publique, force est de rappeler que son vœu est loin d’être celui d’un homme isolé.
En effet, l’appel à une nouvelle candidature du Président Biya pour un nouveau mandat à la tête de l’Etat est le fait d’une frange considérable de Camerounais et de Camerounaises, militants ou pas du RDPC.