Marie Virginie, la Camerounaise vivant au Canada qui s’est aussi fait avoir par le commissaire

De plus en plus de noms sont dévoilés dans l’affaire des vidéos obscènes qui ont été réalisées dans le bureau de police à Yaoundé. Le commissaire Joseph Owono, grand caméraman le temps d’une partouze interdite aux moins de 18 ans, est un adepte de la pratique. Il a fait défiler beaucoup de femmes sur des lits qui n’appartenaient pas à leur mari.

Le visage de Christelle Eboa est dans tous les appareils aujourd’hui à cause de ce commissaire divisionnaire qui divise les couples en prenant pour cibles les femmes d’autrui. Eboa, la policière, se fait voir dans plusieurs vidéos.

Elle menait, jusqu’à ce que l’on ne découvre, une double vie avec des hommes et des femmes, y compris son supérieur hiérarchique, le commissaire Medou Thierry. Elle est divorcée avec un douanier. Christelle Eboa se livre à des pratiques sombres. Pourtant, savons-nous, elle est en couple et a des enfants avec un expatrié.

Comme on pouvait s’y attendre, Christelle n’est pas le seul corps habillé qui a partagé des moments intimes avec le commissaire. Est aussi concernée Catherine Eyong, la commissaire principale à Mbankomo. Elle est l’ex-épouse du commissaire Henri Sabou de la DGRE.

De surcroît, l’ex-épouse du commissaire Koum est citée parmi ses conquêtes. Sans oublier Marie Virginie Leka, une Camerounaise de la diaspora vivant au Canada.

Elle est une ancienne employée de l’autorité aéronautique. Josué Ossomo profitait de ses fonctions pour accorder des faveurs aux voyageuses en échange de faveurs sexuelles. Plusieurs autres Camerounaises de la diaspora sont citées. La situation est par conséquent plus grave qu’on ne l’imaginait et nécessite un traitement particulier, nous confient les autorités en charge de l’affaire.

Déjà, Josué Ossomo a été démis de ses fonctions. Tout semble indiquer qu’il aura de gros ennuis et sera soumis à la police des polices pour répondre de ses actes.