Outre la ménace de la secte islamique Boko-Haram, l'absence des pluies dans la capitale de l'Extrême-Nord du Cameroun, a perdubé la culture du mil, principale denrée consommée dans cette partie du pays.
Cette situation a entrainée, une baisse importante de la production et une hausse des prix sur le maché. Les consommateurs achètent le sac de à 37000frs, alors que le même sac, se vendait il ya trois mois, à 12000frs. "le mil est passé de 12000frs à 37000frs nous les débrouillards, ont arrivent pas à achéter." s'exclame un consommateur. Cette situation inquiète les consommateurs qui redoutent une insécurité alimentaire.
Les responsables en charge de la production du mil dans cette région affirment néanmoins que, la production sera bientôt relancée.