Martinez Zogo : c'est très triste ; les échanges de Calixthe Beyala et Fridolin Nke sont dehors

Les enquêtes poursuivent leur cours dans l'affaire de l'assassinat de Martinez Zogo, le journaliste d'investigation en poste à Amplitude FM.

En attendant les résultats de l'enquête, les langues se délient et les clashs deviennent violents sur la toile. Les échanges de Calixthe Beyala et Fridolin Nke sont dehors.

La romancière camerounaise n'a pas manqué d'étaler ce qui se passe entre Fridolin Nke et elle. Elle indique que ce dernier veut se servir de son nom pour tirer son épingle du jeu.

« Cher Fridolin Nké, Je ne suis l'amie de personne et tu le sais.

D'où vient-il que tu m'interpelles ? Je ne t'ai pas parlé depuis deux semaines et c'est vérifiable ! Ni pendant l'enlevement de Martinez Zogo, ni pendant la découverte du corps jusqu'à ce mercredi 25 janvier 2023 ! », a fait savoir la romancière.

« C'est toi qui m'a contactée en m'envoyant une de tes publications en fin de cet après-midi. Je t'ai dit de laisser avancer les enquêtes point. Ni un mot de plus. Ni un mot de moins. Donc l'objectif de cet envoi était de faire croire que je t'aurais manipulé dans tes différentes sorties ? C'est mal, mon frère », ajoute t elle.

« Qu'est-ce qui t'arrive donc ? Tout le monde ne se compromet pas, sache-le ! J'ai comme tous les camerounais une intime conviction que je ne me permettrai d'exposer publiquement tant que l'enqête n'est pas achevée ! Mes propos sont sur les radios et sur cette page. Je les assume entièrement sans en retirer une virgule ! Tu as dit des choses sur Canal 2 ! Tout le peuple t'a vu ! Tous les camerounais ont applaudi ta détermination d'après les comptes rendus qui m'ont été faits ! Assume-les comme un Monsieur. Ne t'affranchis pas de tes propres paroles. Un homme, c'est d'abord sa parole ! Bisous », a lancé Calixthe Beyala à l'endroit de son interlocuteur.