On en sait un peu plus sur la première audience de l’affaire Martinez Zogo. Me Félicité Ziefman avocat de la partie civile représentant les intérêts de la veuve Zogo raconte comment elle a été méprisée par l’ancien bâtonnier.
Un ancien bâtonnier pompeusement appelé BÂTONNIER ÉMÉRITE qui ne s'émeut pas du fait que les avocats des parties civiles n'aient ni chaise, ni table pour s'asseoir.
Il aura fallu que nous menacions de nous asseoir à même le sol pour qu'une tablette de moins d'un mètre soit mise à notre disposition m'obligeant d'écrire sur mes genoux.
Il a même fait pire : alors que l'un des greffiers se battait pour trouver une solution à cette situation, il va lui dire que nous n'avons droit à rien parce que nous ne sommes pas parties au procès.
Ne lui parlez pas du respect du principe du contradictoire : dans sa tête et son esprit doppelisé ayant décidé que nous ne sommes pas des parties au procès, il ne nous communique pas des pièces transmises au tribunal et au ministère public.
L'humanité inscrite dans notre serment, ne lui en parlez pas : à haute et intelligible voix, il a posé la question de savoir si c'est vraiment MARTINEZ ZOGO qui a été lâchement et atrocement assassiné.
Je ne m'appesantirai pas sur son argument de l'acte de mariage faux. Lui qui dit tout maîtriser en droit, la DOPPEL aurait-elle agi sur son cerveau lui faisant oublier que les actes d'état civile font pleine foi jusqu'à inscription de faux ?