Menace : un collaborateur de Motaze sort une arme de feu et crée la panique (vidéo)

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Mon, 6 Mar 2023 Source: www.camerounweb.com

La crise au niveau de la Fédération camerounaise de volleyball (Fecavolley) avec l’élection de deux présidents au Poste de président prend des proportions inquiétantes avec des menaces de mort à la clé. Selon une vidéo postée par le lanceur d’alerte Nzui Manto, l’un des protagonistes en l’occurrence Abouem Julien Serge, également collaborateur de Louis Paul Motaze a sorti une arme à feu pour abattre certains joueurs, qui seraient aussi des militaires.

«L’organisation de plusieurs élections par des Assemblées différentes est de nature à faire suspendre la Fédération». La mise en garde de l’instance internationale de volleyball (FIVB) n’a rien changé. La Fédération camerounaise de volleyball (Fecavolley) a tenu deux élections. La dernière en date a eu lieu ce samedi 4 février 2023, écrivait le confrère sportnewsafrica.com.

« Abouem Julien Serge, conseiller technique n°2 au ministère des finances ayant perdu les élections à la Fecavolley a sorti une arme pour abattre des joueurs. Il s'était invité à un match de volley-ball où des joueurs avaient empêché sa présence. Le candidat malheureux à la présidence de la Fecavolley ne va pas digérer l'humiliation et sortir son arme. Sauf que, les joueurs étaient en effet des militaires… », a posté Nzui Manto.

« Situation à la fois ubuesque et inédite, la Fecavolley a donc deux présidents, deux conseils d’administration et deux Assemblées générales. Chaque Bureau exécutif juge son élection légale et dénonce celle du camp adverse. «Nous venons de marquer un point précieux dans ce match difficile», se réjouit, Julien Serge Abouem. Le «président» nouvellement élu vient d’être sommé par voie d’huissier de cesser toutes actions au nom de la Fécavolley. Un coup de l’autre «président», Bello Bourdanne, dont l’élection a été homologuée par le ministre des Sports, investi des prérogatives légales de contrôle, de régulation, d’encadrement et de suivi des fédérations sportives nationales », précisait sportnewsafrica.com.

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