Feu commissaire Polycarpe Azoh
Les annonces de décès des autorités sécuritaires se succèdent ces dernières semaines au Cameroun. Il n’y a pas longtemps, nous annoncions la disparition brutale du colonel Jacba qu’on a retrouvé mort chez lui, dans son propre sang.
Les premières informations sorties dans la presse étaient que le militaire est décédé après avoir cogné sa tête contre une matière solide lorsqu’il a glissé sur son carreau.
Puis dans la foulée, une autre version plus alarmante a été relayée. Celle qui explique que c’est sa propre femme qui lui aurait asséné des coups violents à la tête après une dispute.
L’épouse du colonel Jacba aurait utilisé un coup de pilon pour le tuer et les voisins auraient entendu des cris au moment où la lutte entre les deux (02) personnes avaient lieu.
Après le décès du directeur de la garnison militaire, c’est maintenant le commissaire de sécurité publique de la ville de Batouri qui a passé l’arme à gauche.
Selon Mimi Mefo Info, « Polycarpe Azoh a rendu l'âme la nuit (du dimanche le 09 avril, ndlr) des suites de courte maladie ».
