Le Cameroun est en deuil. Fru Ndi a tiré sa révérence. Le roi des Bamendjou rend hommage au président du Social democratic front mort ce lundi à Yaoundé.
N’importe qui ne fait que sa quantité ! Même Celui qui coupe vain têtes meurent aussi et on l’enterre comme celui qui soignent et portent les humains.
Regarde là où un ciel gronde et il part pleuvoir là-bas! Nous étions seulement venus et on partira sans laisser quelqu’un. Qui en partant a déjà porté le sac? Jusqu’à ça sort à nos yeux comme nous voyons la tu pars sur les choses tu tires un peu pour rentrer par derrière? L’aliéné lis sa part que ça sort que sur les autres. Qui a déjà connu le matin? Dieu avec qui?
S’il met qui peut retirer? Oui, Voilà qu’il a mis comme il a mis, tu te tiens ou pour retirer? FRU NDI, Tu t’es débrouillé ta quantité, même accepté, même ne pas accepter, on ne va pas faire quelque chose maintenant jusqu’à ça change ce que dieu avait dit. Seulement toi et Dieu d’arriver avant de savoir.
Et si quelqu’un refuse ta quantité que tu as fait, il fait que sa part on voit, chacun est que sur sa quantité. Oui John Fru Ndi, comme tu pars comme ça la, arrives tu salues tous ceux qui avaient pris le devant et tu leur dit que nous sommes encore derrière.
Si c’est la vérité qu’on arrive là-bas on se voit, tu arrives tu arrives tu salues Tchindeu kakam mon père, tu salues Ahidjo et Germaine, Salut les Adamou Ndam Njoya, les Ndeh Tumazah, les Dakolé Daissala, les Maître Mbah Ndam, les Dongo Essomba, les Charles Doumba, tu salues Achidi Achu, tu salues Tumi cardinal avec les notables de Dieu qui sont là-bas, n’oublie pas Rose, ta femme qui avais pris le devant pour arranger la maison avant que tu arrives.
Tu as percé ta quantité de bagarre que tu pouvais sur la tête du village, tu t’es débrouillé ta quantité, chacun peut connaître sa part et dire mais seulement ma part que je connais c’est que tu as écrit ta part de nom sur le village.
En tournant ton dos pour nous cogner comme Dieu a mis ce matin, tu as déposé les enfants par terre la quantité qu’ils peuvent rester derrière te pleurer. Il ya la malédiction sur la tête de celui-là que la maison en restant se perdre il a même seulement compris le secret sur ça. Dans nos traditions, Une chose pouvait se gater jusqu’à on cherche le côté sur ca sans voir mais on se retrouve au sol du deuil on arrange. On ne jette pas on reste jeter.
Donc il est comme ça, vous avez déjà vu le haut jusqu’à personne ne dort le rêve qu’il va aussi partir demain!!! Yaaahhh, arrêtez un peu vos corps, le haut c’est voir et partir et Dieu passe sur les qualités de choses comme ca pour nous envoyer les nouvelles que chacun arrange son deuil. C’est chacun qui fait comme le rang de son deuil sera long. Tu vois c’est John Fru Ndi aujourd’hui comme ça et tu lis que si c’était toi avant que quelque chose allait trop faire?
Que le ciel allait s’éclater? Le village ne va pas s’arrêter. Non, que chacun passe sur la qualité des choses ci comme ça pour arrêter un peu son corps et arranger sa part de derrière. Nous sommes tous les enfants des poules de dieu que s’il lance sa main à chaque moment pour attraper rien ne va l’arrêter, tu ne vas pas dire qu’il attend le jour devient propre.
Même comme certains pensent qu’ils ont déjà attrapés le nœud, tu trompes comme ça ton corps. Tu sautilles comme ça que Dieu n’a pas encore tapé ton balafon, sait que tu vas partir sans porter le sac.
Fru Ndi, le haut n’est pas le créateur, tu as travaillé ta quantité, Dieu ta appelé, la force pour refuser n’est pas là. Marche toi doucement et ne part pas sans regarder derrière. Même si ce n’est que avec la tête du rêve, tu sursautes parfois pour venir regarder les enfants que tu as jeté derrière et même la maison que tu avais déposé
Va toi voir nos ancêtres, si quelqu’un reste par derrière t’oublier sait qu’on l’oubliera aussi un jour, c’est la route de tout le monde.
Foo Sokoudjou Mpoda
Ce 13 juin 2023