• Une guerre interne secoue les groupes armés sécessionnistes
• No Pity exécute 03 éléments des "Bui Worriors"
• 'Denis' le bras droit de No Pity capture et auditionne par le BIR
La guerre est désormais totale entre les différents groupes armés sécessionnistes d’Ambazonie depuis quelques semaines déjà. Les grandes illustrations sont les affrontements qui opposent les éléments du tout puissant chef de guerre « General NO PITY » et ceux du « General ISUBU ».
En effet, selon une source sécuritaire proche des groupes sécessionnistes, au moins trois séparatistes appartenant au groupe "Bui Worriors" d'ISUBU ont été exécutés par les éléments de « No PITY » ses dernières heures et leurs armes ont été emportées par ces derniers.
Cette expédition rentre dans le cadre d’une vaste opération lancée par « General NO PITY » pour neutraliser son ennemi juré. Des témoignages et audios en possession qui circulent sur la toile signalent un massacre en zone anglophone suite aux rivalités internes entre séparatistes ambazoniens y compris dans le LEBIALEM.
Un témoignage d'un leader séparatiste Ambazonien en fuite dans un pays ami au Cameroun Affirme que « l'armée Camerounaise se bombe le torse d'avoir tué nos gars, mais laissez-moi vous dire que nous tuons nos gars plus que l'armée Camerounaise dues aux rivalités et égoïsmes internes » prenant l'exemple sur le faux commandant séparatiste « King commando » tués avec plusieurs de ses hommes ces jours.
La guerre interne qui oppose les différents groupes sécessionnistes d'ambazonie prend une autre tournure. Depuis quelques temps « No Pity » et certains chefs séparatistes ambazoniens dans le Bui se sentent fragiliser et réduit à cause de l'attaque de certains groupes.
Selon des sources concordantes, en quête du territoire face à son rival « Isubu », « NO PITY » et son entourage d'au moins 18 combattants se sont lancés dans un nouveau recrutement à Djottin et Noni bref dans le Bui. Cette opération est mise en mal par le nouveau "homme fort" de Bui, le "General Isobu" qui a organisé une marche dénommée "WE SAY NO TO NO PITY" c'est à dire "Nous disons non à « NO PITY » mais disons oui a un autre qui est Isubu".
Dans un message audio posté ces dernières 24 heures sur les réseaux sociaux, "NO PITY" affirme avoir tenté des pourparlers avec « Isubu » afin d'aplanir les divergences et que, contrairement à ses attentes, ce dernier a chassé ses émissaires à coups de fusils.
Suite à cet incident, "NO PITY" décide de procéder à l'arrestation de son "ennemi" suivie de son élimination. Selon lui, « Isubu » serait de mèche avec l'armée camerounaise pour son assassinat.
Il met en garde certains leaders sécessionnistes de la diaspora qui financent « Isubu » dans sa lutte et les invite à descendre sur le terrain.