Tout les Camerounais connaissent la relation qu'avait entretenu Samuel Eto'o Fils et l'influenceuse Nathalie Koah, il y a quelques années, alors que l'ex attaquant était la star du FC Barcelone.
Tout le monde se rappelle des nudes de Nathalie Koah et toutes sortes de révélations touchant à l'intimité de la jeune fille. Ce que les gens ont certainement oublié, c'est que Nathalie Koah a été arrêtée en 2014 et a fait plusieurs jours en prison, après qu'elle ait refusé de ne plus coucher avec Eto'o. Même si c'était un secret(de polichinelle bien sur), tout le monde savait que Eto'o était derrière cette arrestation.
Mais, il y a quelque chose d'assez curieux qui se passe à la veille de toute participation du Cameroun à la Coupe du Monde. Car tout comme en 2014, Kaoh a été en prison à la veille de la participation du Cameroun en Coupe du monde, une autre personne est actuellement prisonnière à cause de Samuel Eto'o.
Cette remarque de Souley ONOHIOLO est assez pertinente.
"En 2014, la belle, ravissante, pulpeuse, concorde Nathalie Koah eût la chance. Son séjour carcéral qui s'est limité dans la cellule d'un commissariat de police fut de courte durée. Des rumeurs racontent qu'elle avait été sauvée in extremis de la rage et les griffes de son "bourreau" grâce à l'intervention d'un "Grand" de la présidence. Interpellé, après une semaine des va-et-vient entre les cellules de la direction de la Police judiciaire du Cameroun et le parquet, Parfait Nicolas Siki Awono a été placé sous mandat de dépôt ; il est depuis une dizaine de jours écroué à la maison d'arrêt de Kondengui. Pourquoi le traîner à l'échafaud ou le brûler sur le feu de l'autodafé ? Coïncidence ou simple hasard de l'histoire, les misères de l'infortuné arrivent au moment où les lions indomptables du Cameroun font leurs bagages et prennent la route pour la coupe du monde Qatar 2022", écrit-il dans une tribune.
"Le capitaine de l'équipe nationale de football du Cameroun, s'est tapé une 'prisonnière de luxe : Nathalie Koah à la veille de la coupe du monde Brésil 2014'. Cette sulfureuse affaire des caleçons, les serviettes hygiéniques, les dessous et les sous-vêtements de femmes dans laquelle le "9" national s'était retrouvé avait jeté de l'opprobre, les salissures et le mauvais sort dans la tanière. Point n'est besoin de revenir sur la débâcle catastrophique, les luttes internes, les désagréments, la détérioration des rapports humains, l'absence de cohésion entre les joueurs et les résultats qui s'en sont suivis.
Aujourd'hui, veille du Rdv Qatar 2022, on assiste à la récidive. Les pouvoirs publics n'en disent mot. Silence radio. Hélas ! Au nom de quoi, pour la satisfaction, la gloire, le plaisir, la volonté et les humeurs d'un individu, fut-il président de la Fécafoot, s'apprête-t-on à sacrifier le bonheur collectif des camerounais derrière les lions Indomptables ?", ajoute l'analyste.