Hélène Nathalie Koah en a encore contre des journalistes. Après avoir pulvérisé d’injures Ernest Obama de la télévision Vison 4 sur facebook le 31 décembre dernier, l‘ancienne petite amie de Samuel Eto’o Fils revient à la charge toujours sur son compte Facebook. D’autres confrères dont elle ne cite pas les noms constituent sa cible.
Ils sont taxés de corruption, traités de menteurs entre autres qualificatifs utilisés dans ce post daté du 2 janvier 2016. « En cette année nouvelle 2016 en dehors de ce post, je ne répondrai plus à aucune provocation d'aucun " clavieriste bavardologue de pseudo journalistes " qui excellent dans la désinformation et la manipulation. J'ai des plates formes de communication que sont mes pages Facebook et Instagram , la vérité s'y trouve. Je serai toujours honnête envers TOUS. Pour revenir à une race de journalistes Vous avez décidé (pas tous heureusement) de briller par votre inutilité et de carburer à la mendicité en brandissant votre légendaire ventre vide, c'est votre choix! J'ai des droits et je compte désormais en jouir», prévient la jeune femme.
Elle est en colère à cause des informations en rapport avec son procès contre Samuel Eto’o diffusés dans des médias camerounais voilà quelques semaines. « Dire que j'ai été reconnue coupable des faits qui ne me sont déjà pas reprochés (escroquerie en bande organisée, non mais rien que ça) en plus d'être FAUX c'est GRAVE.
Faire des vidéos et des posts à des années lumières de la vérité c'est mépriser son métier et transcender le " j'ai l'honneur " pour lequel on signe dans sa profession. Plus loin attribuer à un juge de l'état des propos qui n'ont jamais été tenus NULLE PART c'est ne respecter aucune institution judiciaire de ce pays », s’indigne-t-elle. avant d’ajouter: «continuez de briller par votre désinformation, et je ferai agir le CNC (Conseil National de la Communication, ndlr)».
Hélène Nathalie Koah promet de continuer à se battre contre le mensonge. Elle demande à ceux qu’elle pointe du doigt de considérer son message du 2 janvier 2016 comme «une mise en garde, la seule et la dernière !!!!»