Actualités

Sport

Business

Culture

TV / Radio

Afrique

Opinions

Pays

Noso, détournement et état de santé : un homme de Biya craque et dit toutes les vérités à RFI

Pourquoi tant d’acharnement, tant de matraquage médiatique ?

Tue, 31 May 2022 Source: www.camerounweb.com

• RFI est l’un des médias les plus écoutés en Afrique francophone

• La radio est connectée à l’actualité au Cameroun

• Et pas qu’un peu



Saint Eloi Bidoung est un homme politique et ancien militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), parti présidé par Paul Biya. Il est l’auteur d’une tribune écrite et publiée sur les réseaux sociaux. Dans celle-ci, il reproche à Radio France internationale (RFI) et à d’autres médias français d’être obsédés par le Cameroun et son président national Paul Biya (89 ans) au pouvoir depuis 1982.

Il ne se passe plus de jours, de semaines, sans que les caisses de résonnance de la France à l’international ne s’attaquent, soit au président Paul Biya, soit au Cameroun. Quand ce n’est pas le journal "Le Monde" c’est "Radio France Intoxication" (RFI), c’est "Jeune Afrique" ; érigés en porte-voix.

Quand ce n’est pas l’âge du président Paul Biya qui est chahuté, c’est son état de santé qui est querellé, quand ce ne sont pas ses biens dits mal acquis qui sont mis à l’index, c’est sa gouvernance qui est passée au crible. Quand ce n’est pas la forme de l’Etat qui est remise en question, ce sont les droits de l’homme au "Noso" (guerre dans la région du Nord-Ouest et du Sud-Ouest) qu’on pointe d’un doigt accusateur.

Hier Boko Haram, aujourd’hui la crise dite anglophone. Quand les terroristes tuent nos gendarmes, pour la France, c’est de l’auto-défense, quand l’armée réplique, la France, la mère patrie y voit de la barbarie, le crime, le non-respect des droits de l’homme.

Que veut "Radio France Intoxication" ? Pourquoi tant d’acharnement, tant de matraquage médiatique pour remettre au goût du jour une affaire qui dégrade la vie du Cameroun. Que veut démontrer cet éclopé intellectuel qui coud de fil blanc sur un tissu noir de mensonge ; j’ai nommé Jean Baptiste Placca à qui le Cameroun a pourtant tout donné.

Source: www.camerounweb.com