Nouvelle humiliation : la légende Samuel Eto’o se fait refuser un visa

Les problèmes de Samuel Eto’o Fils se font nombreux. Tout semble montrer que chaque jour, ils s’agrandissent encore. Depuis accession à la présidence de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), même la chance fuit le natif de Yaoundé qui ne connait pas la même brillance qu’il a eue en tant que footballeur.

Les scandales dans lesquels sont impliqués Samuel Eto’o sont pléthoriques. Du moins, ceux dans lesquels son nom est cité. Souvent à tort ou à raison.

Corruption et pots-de-vin versés aux arbitres dans le championnat national, détournement de fonds dans les caisses de la Fecafoot, mauvais traitement infligé à ses collaborateurs, non-respect des règles édictées par les instances comme la Confédération africaine de football (CAF) et la Fédération internationale de football association (FIFA), non versement de la pension pour sa fille vivant à l’étranger, menaces de mort proférées contre Marlene Emvoutou l’ancienne candidate à la présidence de la Fecafoot, etc. sont des cas relayés par la presse et dans lesquels Samuel Eto’o a quelque chose à voir.

La CAF et la FIFA ont déjà eu à se pencher sur des affaires qui nécessitaient qu’elles tranchent. Parfois sanctionné légèrement, d’autres fois blanchi, Eto’o n’a pas encore été confronté à une sanction plus sévère qui pourrait l’empêcher d’exercer sa fonction.

Mais d’une source, nous apprenons que l’ambassade des États-Unis d’Amérique a refusé de délivrer un visa d’entrée aux États-Unis au président de la Fecafoot, Samuel Eto’o. Ce dernier voulait se rendre à la Coupe du monde des clubs aux USA remportée finalement par Chelsea Football Club devant le Paris Saint-Germain, vainqueur de la Ligue des champions.

Samuel Eto’o aurait donc perçu cela comme une grande humiliation, lui qui est ambassadeur de la FIFA, au même titre que d’autres légendes du football, en plus du fait qu’il est devenu dirigeant sportif dans son pays.

Alors, le grand 9 comme le surnomme est-il finalement devenu persona non grata, on peut se le demander. La Coupe du monde des clubs, édition 2025, appartient désormais à l’histoire. Mais le refus de visa à Samuel Eto’o, lui, s’il est confirmé, reste une tâche noire ineffaçable.