'On lèche pour l'argent' : des élèves dépravées s'affichent sans retenue dans un lieu public

Dépravation en milieu scolaire

Mon, 21 Nov 2022 Source: www.camerounweb.com

La dépravation continue de gagner du terrain en milieu scolaire et universitaire au Cameroun, que ce soit au collège, au lycée ou dans les universités publiques et privées. De plus en plus de jeunes élèves, filles comme garçons, s’adonnent à des pratiques déconseillées et réservées aux adultes.

Le plus souvent, ils échappent au contrôle des parents et des enseignants. Bien tapis dans l’ombre, loin des regards, les élèves se procurent du plaisir comme ils ont l’habitude de le voir dans des films et séries complètement produites pour les personnes âgées.

Il n’y a pas longtemps, la rédaction de CamerounWeb informait les lecteurs que plusieurs dizaines d’élèves ont été surpris en pleine partouze.

C’est au lycée classique et moderne de Sangmélima, une ville du Cameroun, chef-lieu du département du Dja-et-Lobo dans la région du Sud.

Les faits choquants remontent au 11 novembre 2022 où vingt-cinq (25) élèves de la classe de la troisième ont été pris en plein acte dans une maison abandonnée.

Les sources contactées disent que ce sont les cris et gémissements qui ont alerté le voisinage qui a à son tour touché la police.

Arrivés sur place, les hommes habillés ont fait le constat selon lequel plusieurs élèves ont pris la poudre d’escampette, laissant leurs vêtements et plusieurs fournitures scolaires sur les lieux.

Tout de même, onze (11) d’entre eux ont été. Cette situation rappelle une autre qui date de mars 2021 où une cinquantaine d’élèves ont été vus en pleins ébats sexuels dans un domicile à Kumba qui se trouve au Sud-Ouest du Cameroun.

Maintenant, ce sont trois élèves apparemment très jeunes qui font parler d’elles sur les différents réseaux sociaux avec une vidéo explosive.

Elles sont installées sur un reposoir en pleine rue, visages découverts, en train de faire des aveux complètement hallucinants.



L’une d’elle explique que « moi je vends mon sexe, c’est pour l’argent. Je ne vends pas mes fesses pour vendre. Je vends mon sexe pour mon argent. On lè.che ma chat.te, c’est pour de l’argent ».

Source: www.camerounweb.com