Oppression : la police chinoise fait des ravages à Akwa, quartier considéré comme sa propriété

C’est une situation qui arrive le plus souvent sur le territoire camerounais. Des étrangers qui imposent leur domination ou leur autorité aux autochtones.

Le plus souvent, ce sont des Européens, Arables ou Asiatiques qui viennent s’installer dans le pays dirigé par Paul Biya et qui se donnent les moyens de contrôler les Camerounais.

Un nombre incalculable de fois, ils ont déjà essayé de faire passer leurs intérêts avant les citoyens et même d’user de la force quand il le faut pour obtenir ce qu’ils désirent.

La mission régalienne de l’Etat qui est de protéger les citoyens et leur accorder une priorité au détriment des étrangers est complètement jetée aux oubliettes.

Dans certains cas, le gouvernement va jusqu’à protéger ces étrangers qui n’hésitent pas à brûler la politesse aux Camerounais ou à employer tous les moyens nécessaires pour parvenir à leurs fins.

Une nouvelle photo a été publiée par un lanceur d’alerte camerounais qui prouve justement que le Cameroun est un pays particulièrement bizarre.

« Le régime de Paul Biya a vendu le Cameroun à la Chine », écrit l’informateur sur sa page Facebook jeudi le 12 janvier 2023.

Il détaille en disant « pendant que les uns appellent à ce qu'un tel ne soit jamais président, tandis que les autres se noient dans l'alcool et les jeux, la police chinoise patrouille à Akwa, quartier chinois des affaires ».

En réalité, Akwa nommé Akwa Town par les premiers explorateurs de la côte du Cameroun, est un quartier de Douala.

Par ailleurs, dans la même journée, le lanceur d’alerte informait les lecteurs d’une situation hostile à Douala au marché Congo entre des Nanga Boko et encore des Chinois.

« Des Nanga Boko encerclent des chinois, provoquent une émeute au marché et réussissent à leur arracher un sac d'argent », a-t-il écrit.