Prédateur sexuel Kamdem Guy Alain
Guy Alain Kandem serait un prédateur sexuel impitoyable qui a longtemps abusé des jeunes joueurs qui sont passés par son académie de football.
Tout a été dévoilé à la presse nationale et internationale par le journaliste d’investigation français indépendant Romain Molina qui n’a pas fini de lui faire voir de toutes les couleurs.
Le lanceur d'alerte camerounais exilé en France Boris Bertolt est aussi à fond sur ce sujet.
Il relaie sans cesse les publications de son confrère Romain Molina qui dévoile progressivement les contours de l’affaire scandaleuse.
Michel Biem Tong est un autre journaliste camerounais qui suit de loin de l’affaire. Il en a parlé ces dernières heures sur les réseaux sociaux.
Affaire Kamdem Guy Alain : que fait la justice camerounaise ?
Depuis quelques jours, le président de Capefoot (une académie de football réputée dans la ville de Bafoussam), Kamdem Guy Alain dit Capello est cité dans un scandale de pédophilie.
S’il est vrai que la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) a l’obligation de protéger les jeunes footballeurs contre ce prédateur sexuel multirécidiviste, il y a lieu cependant de s’étonner de la fixation faite par certains individus sur la Fecafoot alors qu’il s’agit d’une question de morale et d’ordre publics.
C’est déjà bien d’interpeller le président de la Fecafoot Samuel Eto'o Fils et même de dénoncer son silence au sujet de ce scandale.
Mais c’est encore plus juste de fustiger l’indifférence tant du Procureur général près la Cour d’appel de l’Ouest que de son collègue le procureur de la République, près le Tribunal de grande instance de Bafoussam, qui, dans un pays normal, se seraient déjà saisis de cette affaire criminelle depuis belle lurette.
Malheureusement, pour les "Etooistes", rien de mieux que le Capellogate pour carburer leur machine à cabale qui tourne depuis plusieurs mois.
Certains d’entre eux, pourtant opposés au régime Biya, ont oublié que cette affaire n’est pas exclusivement sportive, elle relève aussi et surtout du pénal. Non, ne le leur dites surtout pas. Ils vous taxeront d’Etoomoutons.
