Pari foot : un gendarme ayant perdu son pari sur le PSG se dénude et va à l'agence avec une arme

L’histoire défraie complètement la chronique depuis quelques jours. Mardi, le Paris Saint-Germain s’est fait éliminer de la Ligue des champions européenne après une nouvelle défaite à domicile (0-1) contre le Borussia Dortmund. Les Allemands l’avaient aussi emporté au match aller sur le même score.

Avant le match, beaucoup de bookmakers donnaient le club français comme favori, surtout que c’est en France que se jouait ce match retour des demi-finales. Même après avoir été battu à l’aller, les observateurs disaient que le PSG allait se qualifier.

Et pour cause, le coach Luis Enrique avait réussi à déclencher une certaine envie chez ses joueurs, ils étaient finalement prêts à mourir sur le terrain pour lui. Enfin, c’est ce que tout le monde croyait.

Et peut-être que les mêmes bruits sont arrivés aux oreilles de notre parieur qui a voulu, en l’espace de quelques heures, multiplier rapidement ce qu’il avait en poche et sur lequel il avait déjà établi un programme plus sérieux qu’un match de football qui n’est qu’un jeu parmi tant d’autres.

Il va se rendre très vite compte de son erreur puisque le Paris a perdu le pari. Les faits se déroulent au Congo Brazza. Le gendarme est un grand fan du PSG. Il a donc misé à Pari Foot la pension de son fils, soit la somme de 207 000 francs CFA pour la victoire du PSG.

Lorsque ce dernier a constaté le résultat du match en sa défaveur, il s’est rendu dans l'établissement en question pour réclamer son argent. « L'établissement a refusé de lui restituer cet argent car un pari, c'est un pari et soit on perd, soit on gagne », indique un activiste.

C’est alors que selon le même informateur, le gendarme va complètement se dénuder et sortir son arme pour exiger la restitution de cet argent au motif qu'il doit aller payer la pension de son fils.

La vidéo de la scène est complètement choquante. Mais on se demande comment pourrait-il s’imaginer qu’il peut récupérer son pari qu’il a perdu. Il a beau être un gendarme, il y a des règles à respecter.