Part0uzes: Luc Sonor, le partenaire de crime de Samuel Eto'o refait surface

Sonor Reaparait Voici Sonor qui réapparaît

Thu, 2 May 2024 Source: www.camerounweb.com

Sonor est depuis des décennies, cet ami d'enfance de Samuel Eto'o avec qui il voyage partout dans le monde, quand il était footballeur en activité. Mais l'entourage de Samuel Eto'o n'a plus revu Sono depuis plus 2008, année au cours de laquelle Sono a été jugé en Espagne pour avoir abusé d'un mineur. Beaucoup pensent que l'enfant dont il avait abusé était un fils de Samuel Eto'o.

Plusieurs années après, le nom Sonor refait surface dans les affaires de recherche de nudes d'André Onana, travail pour lequel, Samuel Eto'o aurait engagé des jeunes à Paris. L'un des jeunes à la recherche de ces fameux nudes a mentionné le nom "Sonor" dans des audios qui circulent actuellement sur la toile.

Mais c'est qui Sonor?

C'est un nom qui sort du livre Revenge Porn de Nathalie Koah, l'ex compagne de Samuel Eto'o. Nommé Sonor, il serait l'homme à tout faire de Samuel Eto'o, mais pas que. Compagnon d’infortune, ex-bagagiste, Sonor, la trentaine dépassé, représente la moitié de Samuel Eto’o. Entre "partouses" et passe à trois, il se prêterait, d'après le contenu du livre, à tout pour satisfaire son maitre, Samuel Eto'o.

Extrait du livre :



« Paris, un garçon nommé Sonor, qui s’occupe des préparatifs de mon voyage. Je le rencontre à l’hôtel pour la première fois. C’est un ami d’enfance d’Eto’o. Il a la trentaine déjà bien tassée. C’est un grand Camerounais costaud au visage passe-partout. Il occupait un poste de bagagiste à l’aéroport de Douala jusqu’à ce que la carrière de Samuel explose.

Comme d’autres de ses proches, il a alors profité des largesses de son ami, désormais riche et soucieux d’offrir une vie meilleure à ses compagnons d’infortune, pour devenir l’un de ses hommes à tout faire. Leur job : gérer toute la partie non sportive de sa vie afin qu’il puisse se consacrer à 100 % au football.

Sonor s’occupe des hôtels et des billets d’avion, pour lui comme pour ses invités. Il joue les hommes de compagnie ou endosse le rôle de banquier, distribuant argent et cadeaux au nom de son illustre patron. Ces petites mains de l’ombre, Samuel en possède dans chacune des villes où il réside régulièrement : Douala, Yaoundé, Barcelone, Paris, et Majorque. Mais de tous, c’est de Sonor dont il est le plus proche.

Il ne s’agit pas d’un simple employé, c’est son frère, son confident. Là où d’autres ne partagent avec la star qu’un repas de temps à autre, Sonor a un accès total, direct, et permanent à son boss. Il est dans tous les coups, dans toutes les combines, partageant tous ses secrets, même les plus intimes. Son influence est telle qu’il est l’un des rares à pouvoir maîtriser Samuel, à calmer son caractère chaud et tempétueux. Lui, au contraire, est un sphinx, un sage, une force tranquille. Mais son pouvoir, réel, n’est pas illimité. S’il peut tenter de le raisonner, il ne se risque que rarement à le contrarier. Je quitte Paris par un vol direct accompagnée de Sonor.

Une suite avec lit à baldaquin à 500 euros la nuit m’est réservée à l’hôtel Omm, un établissement luxueux et design situé en centre-ville, tout près de la légendaire Casa Milà et du Camp Nou, le stade du FC Barcelone. La « force tranquille » occupe une chambre au même étage. Un match a lieu le soir même.

Pour la première fois, Samuel m’invite à y assister. Je prends ce geste comme une preuve, si ce n’est de son amour, au moins de son attachement grandissant. Je ne suis plus la poupée que l’on garde enfermée dans une cage dorée.

Cette marque d’affection me ragaillardit, et c’est le cœur léger et les yeux pleins d’étoiles que je me rends au stade à pieds, toujours en compagnie de son bras droit. C’est la grande époque du duo Eto’o-Messi. Les deux attaquants squattent alors les sommets du football mondial. Assise au bord de la pelouse, je retrouve d’autres proches parmi lesquels David, le cadet de Samuel. Je profite à fond du spectacle, les yeux rivés sur mon héros.

Je ne me rappelle plus de l’affiche, mais ce soir-là, Samuel est éblouissant. Lorsqu’il marque son premier but, une vague d’émotion et de fierté me submerge. À l’instar du stade tout entier, je me lève de mon siège d’un bond, sautillant comme une puce, hurlant jusqu’à l’asphyxie. Gourde comme je suis, j’ignore que à peine mes fesses ont quitté le siège, il s’est refermé automatiquement. Et voulant me rasseoir, je m’affale par terre provoquant l’hilarité générale. Je suis partagée entre l’amusement et la honte.

J’ai l’impression que chaque spectateur m’observe en chuchotant : « Regarde cette fille, elle ne va jamais au stade ! » Après quelques secondes, les rires bienveillants qui m’entourent finissent par me contaminer. À la mi-temps, je suis conviée à monter jusqu’à la loge VIP. Là, une poignée de privilégiés choisis par les joueurs ou le staff peut profiter de rafraîchissements et d’un buffet offert par le club.

Sonor ne m’a pas suivie, mais d’autres amis et son petit frère sont présents. Nous allons au bar commander un verre. Je m’installe sur un tabouret collé au comptoir. En tournant la tête, j’aperçois une femme assise sur le canapé voisin. Son visage ne m’est pas inconnu. Elle porte une paire de cuissardes qui remontent jusqu’à une jupe noire plissée, et un chemisier blanc très classe.

Elle est grande, avec beaucoup de prestance. Un bébé et une fillette de trois ou quatre ans l’accompagnent. Mon sang se fige dans mes veines. Georgette est là, à trois mètres de moi. Je sens son regard qui me fixe. J’ai envie de courir me cacher sous un tapis. Ses yeux continuent de chercher les miens. Je dois rester naturelle, ne pas montrer la panique qui me serre le ventre. Je me tourne vers David pour engager une conversation sans aucun intérêt.

J’ai l’impression qu’un projecteur braque ses lumières sur moi. Les secondes s’égrènent à la vitesse d’un escargot. Je la sens se lever pour aller aux toilettes. Son chemisier me frôle. Mes tempes se mettent à chauffer sous l’effet de la nervosité. Reste calme. À son retour, le coup de sifflet de l’arbitre annonçant la reprise du match retentit. Je suis la première à me lever. En quittant la salle, je ne peux pas m’empêcher de jeter un dernier regard dans sa direction. Elle est en train d’enfiler un superbe manteau de fourrure avec une grâce majestueuse.

Quelle élégance, quel charisme ! En regagnant mon siège, je suis un peu KO. Davantage que de la gêne ou de la honte, c’est de l’intimidation que j’ai ressentie face à elle. Cette pensée me fait mal. Comment être à la hauteur ? Je reprends mes esprits. Je ne suis pas Georgette, mais je plais à Samuel. Il doit trouver quelque chose en moi qu’il ne trouve pas en elle. Peu importe quoi. Je m’en contenterai.

À la fin de la rencontre, Sonor et moi rentrons à l’hôtel. Samuel m’y rejoint une heure plus tard. Sa présence me surprend. Si sa compagne officielle est à Barcelone, pourquoi ne passe-t il pas la soirée avec elle ? Il entre dans ma chambre, et me tend un sac plastique. À l’intérieur, je découvre son maillot du match encore fumant, gorgé de sueur. Je redeviens pendant une seconde la groupie adolescente que j’étais, et le remercie.

Nous allons dîner dans le quartier gay de la ville où Messi réside. Je me régale d’un plateau de fruits de mer pendant que Samuel se contente, comme souvent, d’un bon steak. De retour à l’hôtel, il s’assoit sur mon lit, demande à Sonor de nous rejoindre, et commande des bouteilles de champagne au room service. Son ami et moi descendons quelques coupes, Samuel s’abstenant, comme d’habitude, de boire de l’alcool. Il nous observe nous enivrer, l’air satisfait. Puis me glisse à l’oreille : « Tu sais, j’aime bien regarder ma copine faire l’amour à un autre homme. » J’avais senti ce moment venir. Tous les indices étaient là.

Sonor qui me suit partout, nos discussions sibyllines sur son goût pour l’adrénaline, sa crainte de l’ennui, son besoin de me faire entrer dans « son monde ». Pas besoin de dessins. Samuel a une hygiène de vie irréprochable, il ne boit pas, ne se drogue pas. Cette source d’extravagances qu’il me décrivait ne pouvait venir que de ses pratiques sexuelles. J’enchaîne les coupes de champagne pour me donner du courage. Je n’ai aucune envie de coucher avec Sonor, mais je ne veux pas décevoir mon homme.

Sa façon de m’amener à accepter ce scénario a été très habile. Il ne menaçait pas de me quitter, pire que ça, il laissait entendre qu’il m’aimerait moins, qu’il perdrait la flamme, que je ne serais plus à ses yeux qu’une fille parmi d’autres. Il ne me promettait pas la haine, mais l’indifférence. Cette pensée est une torture. Je bois sans m’interrompre. J’ai déjà vidé sept ou huit coupes de champagne.

Je n’arrive plus à analyser la situation. Ça va se faire. Ça se passera bien. Ça passera vite. Trou noir. À ce jour, je n’ai toujours aucun souvenir précis de cette nuit. Je me rappelle simplement d’une image de moi en train de faire l’amour. Avec Samuel ? Avec Sonor ? Avec les deux ? Je n’en sais rien. Le lendemain matin, c’est au côté de Samuel que je me réveille. J’ai l’impression d’avoir un marteau-piqueur dans le crâne. Lui affiche un sourire radieux. « Mais qu’est-ce qui t’a pris de boire comme ça ? Tu vois Sonor boire, alors tu bois comme lui ? Mais lui, il tient bien l’alcool, contrairement à toi, me lance-t il hilare.

- Qu’est-ce qui s’est passé hier soir ? J’ai tout oublié.

- Ne t’inquiète pas. C’était une super soirée. Tu étais déchaînée, on ne pouvait plus t’arrêter. J’ai un décrassage avec l’équipe tout à l’heure, je vais me préparer.

D’accord. Mais j’ai fait quoi exactement ? » Sa réponse me surprend : « J’ai pris des photos. Je te ferai voir plus tard. »

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