• Nouveau crime cruel au Cameroun
• Tout le monde est sous le choc
• La population n’en revient pas du tout
Un énième cas d’empoisonnement a été enregistré par les autorités camerounaises ces dernières heures. Il n’y a pas eu une victime, mais deux pour être précis, toutes tuées par quelqu’un qu’elles croyaient les aimer inconditionnellement. Faut croire que non.
C’est à Mbouda que l’évènement tragique s’est produit. Indignation et colère noire, ce sont les sentiments les plus dominants que ressentent les personnes proches des victimes.
Mbouda est une commune du Cameroun, chef-lieu du département des Bamboutos dans la région de l'Ouest. Elle est située au pied des monts Bamboutos à une vingtaine de kilomètres de Bafoussam en pays Bamiléké.
Comme le raconte un lanceur d’alerte camerounais bien au courant de la situation, « une belle-mère empoisonne sa belle- fille et son petit-fils âgé d’un (01) mois ».
Pour entrer dans les détails, « la jeune fille de vingt-trois (23) ans qui vivait avec son gars à Yaoundé avait toujours fait l'objet de rejet de la part de sa belle-mère qui ne l'appréciait guère. Enceinte, son gars lui demandera d'aller accoucher au village auprès de cette belle-mère qui lui voue une haine tenace ».
Alors, « un (01) mois après avoir donné naissance à un garçon, hier (lundi le 15 août 2022, ndlr) soir sa belle-mère, mégère de son état mettra du poison dans le repas à l'insu de la pauvre fille qui en consommera, y compris le bébé. Les deux (02) personnes décéderont à tour de rôle à l'hôpital de Mbouda ».
« La belle-mère s'est livrée elle-même aux gendarmes et est passée aux aveux », précise l’informateur. Ce nouveau crime rappelle un autre évoqué récemment où une femme mariée a tué toute la famille sauf la personne ciblée (son mari) et a tenté de se suicider à Douala.
« Le macabre scénario a eu lieu au quartier Besseke à Bonaberi où une femme en pleine tension avec son époux va mettre du poison dans des bâtons de manioc et arachides grillées qu'elle servira à ce dernier tout en lui souhaitant bon appétit », avait décrit la même source.
Mais « Occupé à ses activités, le mari remettra ce repas à plus tard ignorant que les enfants affamés viendront se jeter sur la nourriture empoisonnée. Quelques instants plus tard, les enfants tomberont les uns après les autres. Conduits à l'hôpital, la maman criminelle apprenant la nouvelle n'aura d’autres choix que de les suivre en ingurgitant à son tour le arata chop die ».