Le Ministère International de la Puissance et de la Résurrection de Christ (MIPRC) Auto Auto, fondé par l'Apôtre Charles Passo et dirigé au Cameroun par le Révérend Silas Affolabi Chabi, fait face à une tourmente médiatique à la suite du décès tragique de Nkouah Ayissi Mélissa, une fidèle de l’église. Cette situation, alimentée par des accusations infondées, a pris des proportions inquiétantes sur les réseaux sociaux, jetant l’opprobre sur l’institution religieuse.
Le drame se déroule le 28 août 2024 à Yaoundé, lorsque Nkouah Ayissi Mélissa, alors en détresse, succombe à une crise dans un taxi, en route vers l’hôpital avec son petit ami, un ancien membre de la chorale du MIPRC. Le jeune homme, qui avait quitté l’église pour une autre congrégation, se trouvait accompagné de membres de sa nouvelle communauté religieuse au moment de la tragédie. Malgré le départ de son petit ami et celui tumultueux de ses parents de l’église, Nkouah Ayissi Mélissa était restée fidèle au MIPRC, où elle avait forgé des liens solides.
Suite à son décès, des accusations ont émergé, dirigées contre le MIPRC et particulièrement contre le Révérend Silas Affolabi Chabi. Les parents de la défunte, dans leur douleur, ont imputé la mort de leur fille à des pratiques mystiques au sein du ministère. Cette allégation a trouvé un écho sur les réseaux sociaux et dans certains médias locaux, amplifiant la rumeur et donnant lieu à une véritable campagne de dénigrement.
Cependant, les proches de l’église et ses responsables dénoncent fermement ces accusations. Le Révérend Silas Affolabi Chabi, connu pour son intégrité et son engagement spirituel, a immédiatement collaboré avec les autorités pour faire la lumière sur l’affaire. Les premiers éléments de l'enquête ne permettent en aucun cas de relier l’église à des pratiques occultes ou au décès de Nkouah Ayissi Mélissa. « Nous devons faire confiance à la justice et aux autorités pour que la vérité éclate », a déclaré le Révérend Silas Affolabi Chabi, appelant ses fidèles au discernement face à la désinformation.
Le MIPRC, qui compte des milliers de fidèles à travers le Cameroun, se trouve plongé dans une tempête médiatique, alimentée par des théories complotistes et des informations non vérifiées. La propagation rapide de ces rumeurs sur les réseaux sociaux a exacerbé la situation, ternissant l’image de l’église.
Malgré cette campagne de dénigrement, les membres du MIPRC continuent d’exprimer leur soutien indéfectible à l’égard du Révérend Silas Affolabi Chabi. L'enquête, toujours en cours, devra déterminer les circonstances exactes du décès de Nkouah Ayissi Mélissa. Pour l’instant, aucune preuve tangible ne permet de soutenir les accusations portées contre l’église. Le MIPRC se dit confiant quant à l’issue de l’enquête, tout en regrettant que ce drame soit instrumentalisé pour nuire à sa réputation.