Porta Potty et crimes: Dubaï ferme ses portes au Cameroun et 19 pays africains

Ces dernières semaines, les demandes de visa de plusieurs pays africains dont le Cameroun ont été refusé pour les personnes détentrices de passeports, par les autorités Dubaï.

D'après des sources de la rédaction de CamerounWeb, cette décision fait suite aux multiples scandales relatifs aux crimes et au sexe, notamment le Dubaï Porta Potty qui ont secoué la toile il y a quelques années.

Pour plusieurs camerounaise, Dubaï est l'une des destinations favorites de se faire de l'argent en vendant le piment, loin des regards indiscrets. Il a fallu l'éclatement du scandale Dubaï Porta Potty pour se rendre compte de ce business que plusieurs jeune "influenceuses" camerounaise et africaines faisaient dans ce pays.

'Je fais partie des femmes abusées à Dubaï': un autre témoignage puant sur le Porta Potty

Les révélations après l'éclatement du scandale Dubaï Porta Potty se poursuivent. Plusieurs personnalités bien connues sur les réseaux sociaux ont fait des témoignages à visage découverts. Certaines ont nié être impliqués dans l'affaire, alors que d'autres ont simplement choisi de faire leur témoignage en anonyme. C'est le cas de cette influenceuse dont nous partageons avec le vous le témoignage ci-dessous.

"J'ai réalisé que je devais le dire quand j'ai vu certaines personnes exprimer leur point de vue sur d'autres plateformes.

Je fais également partie des femmes qui ont été abusées sexuellement à Dubaï. J'ai rencontré une dame sur Facebook qui voyage beaucoup là-bas parce que j'ai vu des photos d'elle sur le désert et tout ça quand nous avons commencé à nous familiariser avec les commentaires sur Facebook, je l'ai reçue et nous sommes devenus amis à partir de là.

Elle m'a dit plus tard, comment elle gagnait de l'argent en allant à Dubaï et qu'elle couchait avec une personne qui gagnait de l'argent et achetait des vêtements et des parfums pour venir les vendre, mais je lui ai dit qu'elle pouvait m'y emmener quand elle y allait. Je lui ai dit que je n'avais pas d'argent mais elle m'a dit qu'elle paierait pour moi et je paierai son bac à notre retour. Nous sommes devenus si proches maintenant qu'elle m'a fait confiance.

Le jour même où nous y sommes allés, nous ne sommes pas allés à l'hôtel comme elle l'a dit, nous sommes allés directement dans une grande maison qui appartenait à un Arabe.

Il était ravi de me voir, alors je savais que c'était l'homme avec qui elle était sur le point de me relier, cette nuit-là, elle est partie en boîte avec l'ami de l'homme. Il m'a attaché au lit de manière romantique et m'a demandé de lui sucer la bite, ce que j'ai fait, mais il ne m'a pas laissé m'arrêter et mes mâchoires sortaient, il a commencé à me battre et à me dire que j'allais lui donner une action buccale pour un heure donc je ferais mieux de coopérer parce qu'il allait me payer 18 000 dollars.

j'ai souffert, la minute suivante, il s'est assis sur mon visage, j'allais sentir son anus (pour ainsi dire) mais il m'a demandé de le lécher parce que c'est le seul moyen de jouir. J'hésitais jusqu'à ce qu'il me menace avec un serpent vivant dans la pièce. J'avais tellement de regrets mais j'étais déjà là, je l'ai léché jusqu'à ce que le caca commence à sortir de l'anus et cet homme m'a demandé de le manger.

J'ai vraiment souffert mon Dieu, j'ai encore des cicatrices sur mon corps à cause des fouets que j'ai eus non seulement en mangeant tout. fais-le bien et cela a mis fin à ma vie. il est ensuite parti dans sa chambre et a commencé à parler à son ami au téléphone (je savais que c'était à propos de moi mais je ne comprenais pas la langue) je n'ai pas cligné des yeux cette nuit-là.

Le lendemain, mon ami m'a insulté et m'a dit à quel point j'avais réservé un vol pour que je rentre chez moi et m'a donné 5700 dollars.

Je n'ai pas survécu à cela et cela fait presque un an. J'envisage de mettre fin à mes jours. Je ne sais pas quoi faire. Je me suis présenté à la police ici pour arrêter la dame mais ils n'arrêtaient pas de me secouer, l'un d'eux m'a dit que c'était même de ma faute".