Le Pr Nkou Mvondo, membre du Comité exécutif de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), fait face à de nouvelles allégations de malversation. Des sources bien informées affirment qu'il aurait reçu des paiements doubles pour une même séance d'astreinte. Cette nouvelle controverse vient ébranler davantage la gestion du football au Cameroun.
Des informations crédibles laissent entendre que le Pr Nkou Mvondo, membre du Comité exécutif de la Fecafoot, aurait reçu deux paiements pour une seule séance d'astreinte. Selon des sources bien introduites, il aurait bénéficié de ces paiements alors qu'il était sous la tutelle de la normalisation dirigée par Happy et aurait en outre reçu 46 millions FCFA sous la présidence d'Eto'o. Cette affaire soulève des questions sérieuses quant à la gestion des finances au sein de l'instance dirigeante du football camerounais.
Le Pr Nkou Mvondo est maintenant confronté à des accusations de détournements de fonds au sein de la Fecafoot. Les allégations selon lesquelles il aurait bénéficié de paiements doubles pour une même séance d'astreinte ont suscité des préoccupations quant à l'intégrité de sa conduite dans la gestion financière de l'organisation.
Le journaliste Boris Bertolt a réagi vivement à ces allégations, qualifiant le Pr Nkou Mvondo de coupable de détournements de fonds à la Fecafoot. Il a souligné que le membre du Comité exécutif aurait perçu de l'argent à la fois sous la période de normalisation dirigée par Happy et sous la présidence d'Eto'o, suscitant ainsi des interrogations sur la légitimité de ces paiements.
L'affaire a également été abordée sur le plateau de l'émission "Club d'Elites" diffusée sur Vision 4. Parfait Siki, lors de l'émission, a traité de cette affaire, soulignant les inquiétudes qui surgissent quant aux pratiques financières au sein de la Fecafoot.
Le Pr Nkou Mvondo se retrouve au centre d'un nouveau scandale financier au sein de la Fecafoot, cette fois-ci pour des paiements doubles liés à une séance d'astreinte. Ces allégations portent un coup sévère à la crédibilité de la gestion du football au Cameroun, soulevant des questions fondamentales sur la transparence et l'éthique dans les affaires financières de l'organisation. Les répercussions de cette affaire pourraient avoir des conséquences durables sur l'image de la Fecafoot et sur la confiance du public dans ses dirigeants.