« Ce jour-là », c’est comme cela que le journaliste sportif Martin Camus Mimb a titré l’une de ses récentes interventions. Dans celle-ci, il parle de son opération.
Martin Camus Mimb écrit : « Ce jour-là… Le 02 septembre 2012. Réveillé de mon anesthésie générale à la suite de mon opération à la jambe ».
Le citoyen a accompagné son texte de la photo d’une femme : « Les médecins autour de mon lit à la clinique Qiron à Barcelone. Ils m’annoncent la terrible nouvelle ».
C’est alors que « je n’ai pas eu le courage de poser une question. Tu es allée sous terre sans que je ne sois là. Je n’ai jamais eu la force et le courage d’en dire publiquement un mot, depuis onze (11) ans ».
Malheureusement, dit Martin Camus Mimb, « il n’y a aucune prescription dans les émotions et la douleur. Aujourd’hui encore, c’est comme si c’était hier ».
Malheureusement, insiste-t-il avant de terminer par « mais ce matin, j’ai eu une pensée très forte pour toi. On se verra c’est sûr. Dans la maison de mon Père. J’attends impatiemment ce jour. Des fleurs, éternellement ! Madame… ».