Grégoire Owona a réussi à voler le sourire au chef de l’Etat
Intervenant sur la CRTV dans le cadre de la célébration de la fête de l’Unité nationale, Grégoire Owona a livré les dessous de la préparation du défilé militaire et civil qui a vu la participation du président de la République Paul Biya. Tout a été orchestré par le parti présidentiel selon les explications du Le secrétaire général adjoint du comité central du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc).
« C’est tout à l’honneur du Rdpc qui a préparé ce défilé avec une équipe technique que le vice-premier ministre Jean Kuete a mis en place, conduite par le ministre Bidoung Kpwatt. Nous avons fait plusieurs répétitions avec cette équipe technique », explique-t-il.
Comme il l’a toujours fait par le passé, Grégoire Owona a réussi à voler le sourire au chef de l’Etat lors du défilé. Cette année, il a défilé en tenue traditionnelle aux couleurs du RDPC.
« J’étais habillé en tenue traditionnelle d’apparat fait avec les tissus que vous avez vous même observé avec l’effigie du chef de l’État, qui symbolise l’unité qu’on célébrait aujourd’hui. Vous avez vu le Rdpc qui fait l’ouverture à tous les camerounais pour qu’ils viennent et qu’on continue à bâtir le pays ensemble », fait-il savoir.
Présidentielle 2025
Le ministre a également évoqué l’actualité nationale marqué par les inscriptions sur les listes électorales. Il estime que les partis politiques qui invitent les populations à se faire enregistrer ne font rien de nouveau. Ils rejoignent plutôt le RDPC qui l’a toujours fait. Owona demande toutefois aux partis à respecter la liberté des populations.
« « Cela fait des années qu’on invite les gens à aller s’inscrire pour qu’ils exercent le pouvoir du peuple. De plus en plus les autres nous rejoignent, jusqu’au point de le faire, le jour et la nuit, le dimanche et le samedi, ils vont même attraper les gens chez eux. Non. La loi est claire, les gens vont s’inscrire et le moment venu, ils iront voter, nous avons voulu la liberté, le président Biya a favorisé cette liberté elle est là, nous devons l’exercer en respectant les lois », ajoute-il.
