Un grand reportage diffusé par une télévision française a dévoilé récemment une pratique qui se fait sur le territoire français: la prostitution, non pas dans les maisons close ou dans les chambres de passages, mais dans les bois et la forêt.
Dans les bois, à l'abris des regards indiscrets, plusieurs femmes de plusieurs nationalité, des Européennes, mais surtout les Africaines, érigent des tentes de fortunes sous lesquelles elles reçoivent leurs clients, assouvissent leurs besoins et se mettent plein d'argent dans les poches. On est là loin des activités de prostitution classiques qui se font dans les rues et dans les maisons close. Cette forme de prostitution se fait de manière très discrète et loin des regards.
Selon le lanceur d'alertes Shance Lion, c'est à cette forme de prostitution se lancent plusieurs camerounaise immigrées en France et dans plusieurs pays en occident.
"La vie que certaines de nos sœurs, cousines, Tantes, nièces préfèrent mener en occident… Voici l'autre face de la France", écrit l'activiste.
S3xtape, rapport sexuel tarifé : fuite des vidéos intimes de Flore de Lille
Il y a quelques mois, les images de la web influenceuse franco-camerounaise Flore de Lille ont inondé la toile. Dans un premier temps la jeune entrepreneure est filmée en train de s’accoupler avec un homme. La rédaction de CamerounWeb après visualisation des premières images croyait à un montage vidéo dont l’unique but serait de ternir la réputation de l’influence.
Les doutes se sont pourtant complètement dissipés lors d’autres vidéos montrent Flore de Lille en train de négocier des rapports sexuels tarifés avec un client. On apprend dans la vidéo que ses tarifs commencent à partir de 100 euros. Elle refuse cependant les propositions du client qui souhaite pratiquer des relations annales avec elle. Si Flore de Lille refuse de se faire pénétrer par l’arrière, elle accepte cependant de jouer au mâle. Les vidéos de Flore de Lille rejoint désormais la plateforme wakawasha. com, la galaxie des sextapes camerounaises et africaines.
De son vrai nom Magina Nkenkom Kouolitto , la revendeuse de produits cosmétiques avait été placé en détention au Cameroun pour des faits similaire il y a quelques années. A l’époque, elle fut arrêtée à Yaoundé pour « outrage à la pudeur, diffamation et injures » suite à une plainte qui aurait été introduite par un cousin de Pau Biya dénommé Evrard Eyinga Meba. Elle fut libérée le 22 avril 2019 après paiement d’une caution d’un million de francs CFA.
« Je remercie mon pays tout d’abord d’avoir cru à mon innocence. Je remercie la justice du Cameroun d’avoir su respecter le principe d’impartialité et de l’équité de la justice. J’ai chaud au coeur. Et pour cela je n’oublierai pas aussi de remercier tous mes amis ma famille et tous mes fans qui m’ont soutenu au quatre coins du monde entier, pour leur soutien psychologique et leurs encouragements, car tout cela m’a permis de garder une attitude positive durant cette rude épreuve que j’ai traversé au Cameroun. Une fois de plus merci à tous. Je continue de pied ferme à croire aux institutions et à la justice du Cameroun », a-t-elle réagi sur Internet.